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Mis à jour: 14 juin 2025
A la mort d'un grand homme de guerre, il est d'usage de faire suivre le convoi par le cheval favori du héros, son cheval de bataille, obligé de régler au pas ralenti du cortège cette allure fringante qui dégage des odeurs de poudre et des flamboiements d'étendards. Ici le grand coupé de Mora, ce «huit-ressorts» qui le portait aux assemblées mondaines ou politiques, tenait la place de ce compagnon des victoires, ses panneaux tendus de noir, ses lanternes enveloppées de longs crêpes légers flottant jusqu'
Le monarque des Rakshasas fit pavoiser Lankâ de drapeaux, de banderolles, d'étendards, et, plein de joie, fit proclamer dans toute la ville: «Râma et Lakshmana sont morts: c'est Indradjit qui les a tués!»
Le camp de Féofar présentait un spectacle superbe. De nombreuses tentes, faites de peaux, de feutre ou d'étoffes de soie, chatoyaient aux rayons du soleil. Les hautes houppes, qui empanachaient leur pointe conique, se balançaient au milieu de fanions, de guidons et d'étendards multicolores. De ces tentes, les plus riches appartenaient aux seides et aux khodjas, qui sont les premiers personnages du khanat. Un pavillon spécial, orné d'une queue de cheval, dont la hampe s'élançait d'une gerbe de bâtons rouges et blancs, artistement entrelacés, indiquait le haut rang de ces chefs tartares. Puis,
«À côté, ce second groupe, encore plus nombreux, composé d'étendards
Derrière le régiment, qui porte les brassées d'étendards? Le canon gronde par tout l'occident. Gloire! Le joyau sur le doigt de Cahujac: Gloire! Le tricorne doré sur le portemanteau de Marius: Gloire! Les florins qui sonnent dans toutes les fontes: Gloire! Les taches de sang vierge sur les culottes de peau; Gloire! Elle avait de bien jolis yeux bleus: Gloire!
C'est au milieu de ces récits, que Râma, environné des singes, entra dans Ayodhyâ, cité charmante, décorée en ce moment de guirlandes, pavoisée d'étendards, pleine d'un peuple gras et joyeux, avec ses places publiques, ses marchés et ses grandes rues bien arrosées, ses routes jonchées de fleurs, sans un intervalle, qui ne fût pas rempli de vieillards et d'enfants, au milieu desquels on entendait les femmes dire au monarque arrivé dans sa capitale: «Les habitants de cette ville désiraient te voir, sire, avec leurs frères, avec leurs fils, et, par bonheur, les dieux leur ont fait cette grâce aujourd'hui! Kâauçalyâ eut beaucoup de chagrin, Kakoutsthide; elle souffrit de ton absence infiniment, elle et dans la ville tous les habitants d'Ayodhyâ, sans aucune exception. Délaissée par toi, Râma, cette ville était comme un ciel qui n'a point de soleil, comme une mer
Khara, bouillant de colère, monta dans son char, pareil aux cimes de Mérou et décoré avec un or épuré, tout plein d'armes, pavoisé d'étendards, orné de cent clochettes, rayonnant de toute la diversité des pierreries, égal au ciel en splendeur, où l'orfévre habile avait sculpté des poissons, des fleurs, des arbres, des montagnes, le soleil et la lune en or, des troupes d'oiseaux et des étoiles en argent; char attelé de vigoureux coursiers, mais doué d'un mouvement spontané, avec un timon parsemé de perles et de lapis-lazuli, où brillait en or l'astre des nuits.
Au-dessus d'elle, un dais de soie vieux rose brochée de blanches marguerites, avec des hampes d'étendards que terminaient des gueules de dragons en bronze, lui faisait une lumière douce, dans la fantasmagorie des étoffes, l'éclat des ors, des plumes et des fleurs. Ç
Ayodhyâ était pavoisée d'étendards flottants, résonnante de musique, dont toutes les espèces d'instruments jetaient les sons au milieu des airs. Arrosée, délicieusement parée, jonchée de fleurs et de bouquets, la rue royale était remplie de citadins, la voix épanchée en bénédictions et le visage tourné vers le roi, qui fit ainsi pompeusement sa rentrée dans la ville et dans son palais.
«En second lieu, lorsque nous méditons sur l'exclusion respective et l'intolérance arbitraire de vos prétentions, nous sommes effrayés des conséquences qui découlent de vos propres principes. Peuples! qui vous dévouez tous réciproquement aux traits de la colère céleste, supposez qu'en ce moment l'Être universel que vous révérez, descendit des cieux sur cette multitude, et qu'investi de toute sa puissance, il s'assît sur ce trône pour vous juger tous; supposez qu'il vous dît: «Mortels! c'est votre propre justice que je vais exercer sur vous. Oui, de tant de cultes qui vous partagent, un seul aujourd'hui sera préféré; tous les autres, toute cette multitude d'étendards, de peuples, de prophètes, seront condamnés
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