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Mis à jour: 3 juin 2025


Mais ce costume, n'était-ce pas celui que portait la Stilla dans cette scène finale d'Orlando, Franz de Télek l'avait vue pour la dernière fois ? Oui ! et c'était la Stilla, immobile, les bras dirigés vers le jeune comte, son regard si pénétrant attaché sur lui... « Elle !... Elle !... » s'écria-t-il.

C'était madame Sacco, une nièce d'Orlando, née

Cet incident avait fait manquer l'omelette soufflée, au grand désespoir d'Orlando; mais il s'en consola, au dessert, par le succès d'une pièce montée, au sommet de laquelle se balançait un perroquet en sucre.

Et ce chant de la Stilla, n'était-ce pas entre tous celui qui devait faire vibrer plus vivement au coeur de Franz les cordes du souvenir ? Oui ! il avait reconnu le finale de la tragique scène d'Orlando, ce finale l'âme de la cantatrice s'était brisée sur cette dernière phrase : Innamorata, mio cuore tremante, Voglio morire...

Elle arriva, cette dramatique scène meurt l'héroïne d'Orlando. jamais l'admirable musique d'Arconati ne parut plus pénétrante, jamais la Stilla ne l'interpréta avec des accents plus passionnés. Toute son âme semblait se distiller

La Stilla était debout sur l'estrade, en pleine lumière, sa chevelure dénouée, ses bras tendus, admirablement belle dans son costume blanc de l'Angélica d'Orlando, telle qu'elle s'était montrée sur le bastion du burg. Ses yeux, fixés sur le jeune comte, le pénétraient jusqu'au fond de l'âme...

C'était un simple artifice d'optique. On n'a pas oublié que le baron de Gortz avait acquis un magnifique portrait de la cantatrice. Ce portrait la représentait en pied avec son costume blanc de l'Angélica d'Orlando et sa magnifique chevelure dénouée. Or, au moyen de glaces inclinées suivant un certain angle calculé par Orfanik, lorsqu'un foyer puissant éclairait ce portrait placé devant un miroir, la Stilla apparaissait, par réflexion, aussi « réelle » que lorsqu'elle était pleine de vie et dans toute la splendeur de sa beauté. C'est grâce

Cependant les jours s'écoulaient, l'émotion ne se calmait pas, et elle allait être portée au comble le soir la Stilla ferait sa dernière apparition sur le théâtre. C'était dans le superbe rôle d'Angélica, d'Orlando, ce chef-d'oeuvre du maestro Arconati, qu'elle devait adresser ses adieux au public.

Lorsque Nelson remonta sur la dunette, il était onze heures du matin. Le vent avait passé au sud et soufflait grand frais, le Van-Guard avait doublé le cap d'Orlando et filait huit noeuds

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