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Mis à jour: 10 juin 2025
Avec sa pagaie, Meneh-Ouiakon tua une vingtaine de ces volatiles, en fit cuire deux dont elle déjeuna, serra les autres en un coin de son canot, sous une couche d'herbages humides pour qu'ils se conservassent frais, et repartit heureuse de n'avoir pas encore été troublée dans sa fuite.
De droite et de gauche, rien cependant, rien que des plaines d'herbages où des troupeaux de boeufs se promènent.
Le défilé de cette fois est d'un abord moins farouche que ceux des précédentes nuits; entre des parois tapissées d'arbres, d'herbages et de fleurs, notre chemin monte, pas trop raide ni dangereux.
Je connais, reprit le prélat, dans le Bas-Poitou, un canton dont nul en France ne soupçonne l'existence. Vingt lieues de pays, c'est immense, n'est-ce pas? Vingt lieues, monseigneur, et toutes couvertes et eau, d'herbages et de joncs, le tout mêlé d'îles chargées de bois. Ces grands marais, vêtus de roseaux comme d'une épaisse mante, dorment silencieux et profonds sous le sourire du soleil. Quelques familles de pêcheurs les mesurent paresseusement avec leurs grands radeaux de peuplier et d'aulne, dont le plancher est fait d'un lit de roseaux, dont la toiture est tressée en joncs solides. Ces barques, ces maisons flottantes, vont
Au bout d'un quart d'heure, apparition de la «Ville violette», dont un angle surgit devant moi au détour du chemin. Elle se découvre lentement, toujours muette et fermée, bien entendu, comme un colossal tombeau. Ses longues murailles droites, au-dessus de ses fossés pleins d'herbages, vont se perdre dans les lointains confus et déj
La région que nous allons traverser n'est que pendant six mois par an transformée en lac; bientôt les eaux se retireront, laissant reparaître la terre qui va hâtivement se couvrir d'herbages.
Choisis pour nous, Faustine. De quoi devons-nous parler?» La jeune Romaine tourna la tête, leva les yeux, rougit, et, avec une ondulation de tout son corps, elle soupira: «De l'amour. Très joli sujet!» dit Séso, en réprimant une envie de rire. Mais personne ne prit la parole. La table était pleine de couronnes, d'herbages, de coupes et d'aiguières.
A l'extrémité septentrionale du village iroquois de Caughnawaga, on voyait alors une hutte, longue de vingt pieds sur une profondeur de quinze. Elle était formée de pieux fichés en terre, revêtus d'un bousillage de glaise, et surmontés d'une toiture d'écorce. De chaque côté une porte, faite d'écorces suspendues, donnait accès dans cette hutte, dont l'intérieur, éclairé par des trous pratiqués dans le mur, était aussi misérable que l'extérieur. Au centre était le foyer, près duquel une demi douzaine de chiens décharnés, le museau entre les pattes, reposaient ordinairement leurs membres étiques. A des poutrelles transversales, étaient accrochés des quartiers de venaison, des bottes d'herbages de toutes grandeurs, et des chapelets de poissons. Des planches de bois blanc, disposées en rayon,
Germaine était précisément la fille du jardinier chez laquelle Albert avait entendu le piano de la veille, exécutant pour la première fois, avec une verve endiablée, une grande valse de Strauss dans le silence des ruines. Fille unique, élevée dans un des meilleurs pensionnats de Rennes, Germaine faisait la pluie et le beau temps dans la maison paternelle, maison coquette et confortable, aménagée dans un coin des ruines, et tenant de la ferme, du cottage et de la villa, comme savent en construire nos voisins d'outre-Manche sur les vertes pelouses des îles anglo-normandes. Vive, alerte, spirituelle et pimpante comme nos fraîches soubrettes de l'ancien répertoire, Germaine était un des bons partis de la contrée (son père avait cumulé depuis vingt ans, comme jardinier-pépiniériste, gardien des ruines et maître meunier); mais les gros propriétaires d'herbages et les notables marchands de bestiaux du pays n'avaient pas encore osé se frotter
Vers deux heures du matin, quand la nuit pèse de sa plus grande ombre sur ce pays d'arbres et d'herbages, de longs cris chantants extrêmement plaintifs, extrêmement doux, partent de Beït-Djibrin, passent au-dessus de nous, pour se répandre au loin dans le sommeil et la fraîcheur des campagnes: appel exalté
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