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Suivant la force de la garnison, et le concours plus ou moins efficace de la garde nationale, l'on occupera également, dans les quartiers importants, les dépôts de grains et de farines, les maisons de boulangers, d'armuriers, d'artificiers, les imprimeries, les caisses publiques et particulières, les églises et clochers l'on pourrait sonner le tocsin, ainsi que les maisons, qui protégent le débouché sur les places.

De son côté, le gouvernement, craignant que cette démonstration funèbre ne dégénérât en agression, avait mis sur pied vingt-cinq mille hommes de troupes, qui étaient ou cantonnées sur les places, ou consignées dans les casernes. Le cortége suivit les boulevards jusqu'au pont d'Austerlitz, d'où le cercueil devait être transporté dans le département des Landes; mais, pendant toute la marche, il y eut non le recueillement d'une pompe funèbre, mais l'agitation qui précède une insurrection, des cris de Vive la République! A bas Louis-Philippe! Vive la Pologne! des rixes avec les sergents de ville, des apprêts de guerre. Au moment des adieux, l'apparition d'un drapeau rouge ayant excité le plus violent tumulte, l'approche de quelques escadrons de cavalerie fit engager la lutte. Alors les cris: Aux armes! retentirent de toutes parts; on fit des barricades, on enleva des postes, on pilla des magasins d'armuriers, et,

On pillait une fabrique d'armes, boulevard Saint-Martin, et trois boutiques d'armuriers, la première rue Beaubourg, la deuxième rue Michel-le-Comte, l'autre, rue du Temple. En quelques minutes les mille mains de la foule saisissaient et emportaient deux cent trente fusils, presque tous

Sur tous les points la lutte était gigantesquement engagée; et, des désarmements, des visites domiciliaires, des boutiques d'armuriers vivement envahies, il résultait ceci que le combat commencé

La population entière se soulève. On sonne le tocsin, le tambour bat dans chaque rue, les boutiques d'armuriers, jusque-l

Une autre foule ayant été chargée, au milieu du jardin des Tuileries, par le prince de Lambesc, alla porter l'effroi dans les rues et les faubourgs. La ville n'eut plus qu'un cri: «Aux armesDans la soirée, les gardes-françaises se réunirent au peuple. Sous la blouse, sous l'uniforme, n'était-ce pas le même coeur? L'incendie des barrières continua. Terrible spectacle que la capitale si violemment agitée, et entourée d'une ceinture de feu! Quelle vision! Le Palais-Royal, cet oeil vigilant des opérations publiques, resta ouvert toute la nuit. On défonça quelques boutiques d'armuriers. Telle était, du reste, la grandeur du sentiment national, que dans Paris, cette ville bloquée, sans tribunaux, sans police,

«5° L'armement de ces corps aurait besoin d'être échangé , mais l'arsenal de Mayence n'en a pas les moyens; ces corps manquent d'armuriers et en ont un besoin pressant. Le 1er régiment aurait aussi besoin de gibernes, mais il n'en existe pas ici. Quant

Suivant la force de la garnison et les dispositions de la milice citoyenne, l'on occupera, sur quelques points, les dépôts de grains et de farines, les maisons de boulangers, d'armuriers, d'artificiers, les imprimeries, les caisses publiques et particulières, les églises ou clochers d'où l'on pourrait sonner le tocsin ou faire des signaux, ainsi que les bâtiments qui protégent le débouché sur les places et en dehors des casernes.