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Mis à jour: 19 juin 2025
Il perfectionna beaucoup de traductions antérieurement faites; on lui doit des versions des Catégories d'Aristote, avec le commentaire d'Alexandre d'Aphrodise, du De sophisticis elenchis, de la Poétique, de la Métaphysique, des Lois et du Timée de Platon, de l'ouvrage de Théophraste sur les moeurs. Avec Abou Ali Ysa fils de Zaraah, autre chrétien jacobite, nous atteignons le temps d'Avicenne.
Abou Djafar el-Khâzin, connu plutôt sous le nom d'Ibn Rouh, fut mathématicien aussi, astronome et un peu philosophe. Il traduisit du syriaque en arabe le commentaire d'Alexandre d'Aphrodise au premier livre de la Physique d'Aristote. Cette traduction fut revue par Yahya fils d'Adi. Ibn Rouh fut l'ami du philosophe mahométan Abou Zéïd el-Balkhi que nous rencontrerons au chapitre suivant.
Il écrivit quelques traités originaux inspirés par ces ouvrages. Ishâk fils de Honéïn traduisit en arabe le Sophiste de Platon, la Métaphysique d'Aristote, le traité de l'Ame, les Herméneia, le traité de la Génération et de la corruption, avec divers commentaires par Alexandre d'Aphrodise, Porphyre, Thémistius et Ammonius.
Il traduisit le livre 50 de la Métaphysique d'Aristote; il commenta les premiers et les seconds Analytiques, le de Sophisticis elenchis, l'ouvrage apocryphe intitulé l'Apologie d'Aristote; il abrégea la Poétique d'Aristote et celle d'Alexandre d'Aphrodise, les Herméneia, l'Isagoge de Porphyre. Il écrivit un traité sur les Catégories.
Aristote y dominait; il y figurait par ses oeuvres propres et par ses commentateurs, Alexandre d'Aphrodise, Thémistius, Ammonius, Jean Philoponus. Ce dernier, bien connu des Arabes qui l'appelaient Jean le Grammairien, conduit l'école grecque jusqu'au seuil du mahométisme. Il mourut en effet peu d'années avant l'hégire, et même une légende musulmane, prolongeant ses jours, l'amène en présence du terrible conquérant de l'
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