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Mis à jour: 24 mai 2025
«Devine, ou je te dévore.» Au nord du Tonkin, très loin dans les terres, la province de Kouang-Si, aux rizières d'or, étale jusqu'aux centrales principautés de l'Empire du Milieu ses villes aux toits retroussés dont quelques-unes sont encore de mœurs
PEMBROKE. Sa Majesté parle encore: elle est persuadée que si on la conduisait en plein air, cela calmerait l'ardeur du cruel poison qui la dévore. HENRI. Eh bien, il faut le faire porter ici dans le verger. Est-il toujours en fureur? PEMBROKE. Il est plus calme que lorsque vous l'avez quitté. Tout
Je m'ennuie de la vie; l'ennui m'a toujours dévoré: ce qui intéresse les autres hommes ne me touche point. Pasteur ou roi, qu'aurais-je fait de ma houlette ou de ma couronne? Je serais également fatigué de la gloire et du génie, du travail et des loisirs, de la prospérité et de l'infortune. En Europe, en Amérique, la société et la nature m'ont lassé. Je suis vertueux sans plaisir; si j'étais criminel, je le serais sans remords. Je voudrais n'être pas né, ou être
J'entretins l'empereur de ma situation personnelle, telle que je l'avais conçue. L'empereur me parla du duc de Reichstadt avec éloge. Il l'aimait beaucoup et avec raison; car, indépendamment de beaucoup de qualités, ce jeune prince était charmant pour lui. L'empereur me dit: «Il est bon, instruit, spirituel et dévoré de la passion du service militaire.» Il avait exprimé, ajouta-t-il, de l'intérêt pour les Bourbons lors de la catastrophe, et lui avait dit qu'il serait heureux de contribuer
Car vous nous prenez notre place, vous couchez dans mon lit, vous regardez par ma fenêtre... Tenez, s'écria Gillette, cela me dévore quand j'y pense et je vous déteste... Et la petite Cam dit d'un ton fanatique: C'est moi qui la déteste le plus! Sur cette déclaration, toute la bande s'ébranla. Quelqu'un avait murmuré le mot de patriarche.
Je la dévore des yeux quand elle s'habille, je ne sais pas pourquoi, je me sens tout chose en la regardant retenir avec ses dents et relever sur son épaule ronde sa chemise qui dégringole, les jours où elle couche dans notre petite chambre, pour être au marché la première, avec ses blocs de beurre fermes et blancs comme les moules de chair qu'elle a sur sa poitrine.
Moi... et ceux qui me ressemblent, nous sommes plus que des hommes... Nous sommes au reste de la race humaine ce que sont les hardis chasseurs aux bêtes féroces qu'ils traquent dans les bois... Veux-tu être comme nous... plus qu'un homme, veux-tu assouvir sûrement, largement, impunément, la haine qui te dévore le coeur... Après le mal que l'on t'a fait?
A la fin d'un splendide dîner qui avait surexcité la gaîté des convives, on railla la maîtresse du château sur la rapidité avec laquelle on avait dévoré toutes ses provisions d'hiver, et sur la fausse honte qui l'empêchait d'avouer franchement
Dévoré de la fièvre aiguë de l'impatience, il se tournait et se retournait sur son lit, appelant vainement le sommeil qui lui eût fait perdre conscience des heures trop lentes. Et au jour, il était sur la route de Poitiers, le fusil sous le bras, marchant
Kesler, dévoré par la nostalgie, mais inébranlable, mourut le 6 avril 1870. Sa tombe est au cimetière du Foulon, près de la ville de Saint-Pierre. C'est une pierre avec cette inscription et au bas on peut lire: Son compagnon d'exil, Victor Hugo.
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