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Mis à jour: 9 juin 2025
Il écrivit au roi d'Espagne pour réclamer l'exécution des conditions de l'alliance qu'il avait contractée avec lui, et lui demander de faire passer en France un corps de troupes dont il détermina la force, et de le mettre
Une des choses qui détermina le plus les Turcs
Cette disparition détermina les nombreuses recherches qui ont amené la découverte du passage, et la reconnaissance de ces continents polaires si profondément déchiquetés; les plus intrépides marins de l'Angleterre, de la France, des
Il n'était plus temps de les éviter. Tout en grommelant contre l'indiscrétion de son subordonné, Molodun se détermina
On n'a pas toujours dit qu'elle fut l'une des ennemies de Fouquet (Mottev., t. 5, p. 132), et qu'avec Laigues elle détermina
L'Encyclopédie des gens du monde n'est pas mieux informée quand elle écrit: «La perte de sa femme qu'il aimait tendrement l'ayant plongé dans un chagrin profond, il tomba dans une maladie de langueur et se retira chez les Chartreux, dont le prieur reçut son dernier soupir.» La nouvelle édition de la Biographie de Michaud, dit également: «Persécuté, resté veuf et seul, une maladie de langueur détermina sa retraite chez les Chartreux, où la reconnaissance l'avait souvent accueilli.» «Plus tard, répète la Nouvelle Biographie de Didot qui fait si volontiers écho
L'assemblée provinciale du Cap se forma d'elle-même, et nomma pour président M. de la Chevalerie. Elle déclara que tout pouvoir résidait en elle; que toute autre assemblée était illégale et séditieuse; qu'elle ne reconnaîtrait plus M. de Peinières pour commandant, tant qu'il n'aurait pas prêté le serment. Elle cassa le conseil supérieur, rétablit celui du Cap et ouvrit les ports aux étrangers. M. de Peinières attendait toujours les ordres du Roi pour prêter le serment; mais n'en recevant point (ses lettres ayant été supprimées et interceptées), il se détermina enfin
À l'instant où l'insurrection, surgissant du choc du peuple et de la troupe devant l'Arsenal, détermina un mouvement d'avant en arrière dans la multitude qui suivait le corbillard et qui, de toute la longueur des boulevards, pesait, pour ainsi dire, sur la tête du convoi, ce fut un effrayant reflux. La cohue s'ébranla, les rangs se rompirent, tous coururent, partirent, s'échappèrent, les uns avec les cris de l'attaque, les autres avec la pâleur de la fuite. Le grand fleuve qui couvrait les boulevards se divisa en un clin d'oeil, déborda
Cependant les habitans de la campagne, entrés dans Malte pêle-mêle avec les fuyards, y rapportèrent un désordre qui s'accrut encore par le retour d'un corps de soldats chargés de la garde des postes extérieurs. Frappés d'une terreur subite au milieu de la nuit, ils étaient venus chercher dans la ville un refuge contre un ennemi qui ne les attaquait pas. La frayeur se changea en fureur. Le sang coula dans les rues. Les patrouilles tiraient les unes sur les autres. Plusieurs chevaliers furent massacrés. Tout annonçait pour le lendemain des maux encore plus grands que ceux qu'on avait éprouvés dans la journée. Sur les instances des principaux habitans de l'île, le grand-maître se détermina
Mais cependant il fallait bien accepter les offres des Anglais, tout en n'y prenant pas une confiance entière. Dans la position désespérée où se trouvait l'armée, on pensa que c'était encore la chance la plus favorable qui pût être tentée. Ce qui détermina surtout les généraux, ce fut l'espoir de prendre et de conserver, avec l'aide des Anglais, un port où l'on pourrait déposer la foule nombreuse des femmes, des enfans, des blessés, qui embarrassaient la marche de l'armée. On avait déj
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