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Mis à jour: 14 juin 2025


Sancho débitait tout cela d'un air si grave, en s'essuyant de temps en temps le nez et la barbe, et d'un ton si dénué de bon sens, que les deux autres tombaient de leur haut, considérant quelle violence devait avoir eue la folie de don Quichotte, puisqu'elle avait emporté après elle le jugement de ce pauvre homme. Ils ne voulurent pas se fatiguer

L'avis d'un homme d'épée est bien dénué de poids, répondit d'Artagnan, qui commençait

Le Satyre est gauche et timide, et son corps, ployé aux voûtes des cavernes, n'a point l'éclat et la beauté dont resplendissent les habitants des cieux. La Terre, sa pauvre mère, l'a créé humble et difforme, et chétif et dénué; pour tout héritage il n'a reçu qu'un chalumeau.

Madame Talma seule conservait avec Ellénore ce parler franc, dénué de toute arrière-pensée, qui semblait se continuer comme pour mieux faire sentir la retenue qui gênait les autres conversations. La position de madame Talma expliquait cette différence. Les femmes de bonne compagnie qui venaient chez elle avaient d'avance sacrifié les susceptibilités d'une austérité sévère aux charmes d'un esprit ravissant,

«Que les dieux immortels me préservent de vous laisser aller loin de nous coucher dans votre barque, comme si je n'étais qu'un indigent dénué de tout, qui n'a dans sa maison ni manteaux ni couvertures

L'aspect de Brindisi, j'arrivai quelques heures après, est tout différent; il n'est même pas dénué d'une certaine magnificence. Une haute colonne de marbre qui du milieu des édifices domine cette ville, dessinée en amphithéâtre, lui donne presque un caractère grandiose. Le lazaret y est vaste et commode. Il se compose de plusieurs pavillons isolés, au milieu desquels s'élève un pavillon plus grand. Celui-l

On peut penser que l'apparition soudaine, sous les traits d'une petite vieille, de la plus puissante des fées, ne m'aurait pas causé plus de plaisir, dénué comme j'étais de tout recours pour m'approcher de Mlle de Stermaria, dans un pays je ne connaissais personne. J'entends personne au point de vue pratique. Esthétiquement, le nombre des types humains est trop restreint pour qu'on n'ait pas bien souvent, dans quelque endroit qu'on aille, la joie de revoir des gens de connaissance, même sans les chercher dans les tableaux des vieux maîtres, comme faisait Swann. C'est ainsi que dès les premiers jours de notre séjour

En toute occasion, cette généreuse disposition se déployait. En 1809, M. de Chateaubriand publia les Martyrs. Le succès en fut d'abord pénible et très-contesté. Parmi les disciples du XVIIIe siècle et de Voltaire, la plupart traitaient M. de Chateaubriand en ennemi, et les plus modérés lui portaient peu de faveur. Ils ne goûtaient pas ses idées, même quand ils ne croyaient pas devoir les combattre, et sa façon d'écrire choquait leur goût dénué d'imagination et plus fin que grand. Ma disposition était toute contraire; j'admirais passionnément M. de Chateaubriand, idées et langage; ce beau mélange de sentiment religieux et d'esprit romanesque, de poésie et de polémique morale, m'avait si puissamment ému et conquis que, peu après mon arrivée

Dans son souvenir, se dressait l'image de la forêt, lumineuse et odorante, l'auto, un moment, les avait arrêtés. Elle entendait un homme, heureux selon le monde, lui découvrir soudain la misère de sa vie, sans bonheur, sans amour, aussi dévastée qu'une terre maudite... Alors pour cet homme, moralement dénué, autant que les plus pauvres

Aussi dénué de génie que pourrait l'être, par exemple, un expéditionnaire de l'Assistance publique, mais étonnamment rempli de toutes les facultés d'assimilation et d'imitation, il s'enleva, d'un bond, dans le cerceau déj

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