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On appuie, en rêve, sur elle Les lèvres pour les apaiser, Mais, amante surnaturelle, Tu dédaignes cet amant frêle, Tu ne lui rends pas son baiser. Et vainement, pour fuir ta face, On veut faire en ses yeux la nuit: Les yeux t'aiment et, quoi qu'on fasse, Nulle obscurité n'en efface L'éblouissement qui les suit.

Les dédaignés ne purent qu'aboyer

Ainsi s'explique l'importance soudaine que prennent désormais dans le roman ceux qu'il avait dédaignés jusque-l

Comme l'autre, insensible aux discours, attendait toujours, il voulut lui jeter un bout de pain et un morceau de sucre qui furent profondément dédaignés. Ah! il faut de la viande

L'appel de l'Académie celtique et du ministre fut entendu et fit naître plusieurs recueils de ces termes jusqu'alors dédaignés, tels que le Patois roman du pays de Vaud , le Vocabulaire vendéen, etc. Pendant le XVIIIe siècle et au commencement du XIXe, les ouvrages sur les patois se multiplièrent. Nous n'allons citer que les principaux: 1753.

Par mon amour si mal récompensé, Par ta foi tendrement promise, Par les tourments des amants dédaignés, Ne me quitte pas, ne me quitte pas ainsi! Ne me quitte pas, ne me quitte pas ainsi!

Ces canards, mystères dédaignés, qui naviguent tout le jour sur les petits étangs et venaient me presser affectueusement

Dédaignés des gens instruits, les écrits en langue vulgaire ne s'adressaient guère qu'aux ignorants. Ce ne pouvait donc être d'abord que des contes et des chansons. Et puisque ces chansons étaient faites pour le plaisir des nobles et des bourgeois qui ne lisaient point, il fallait les leur lire ou mieux les leur chanter. Aussi la Chanson de Roland, et généralement tous les vieux gestes étaient-ils chantés par des jongleurs. De l

Tu me refuses... dit tristement la reine Bacchanal, parce que tu sais que mes droits sur cet argent ne sont pas honorables... Soit!... je comprends ton scrupule... Mais, du moins, accepte un service de Jacques... il a été ouvrier comme nous... Entre camarades... on s'aide... Je t'en supplie, accepte... ou je croirai que tu me dédaignes...

Ah! puissions-nous ne jamais rencontrer sur notre route l'adorable et l'inclémente qu'on aime et qui s'en moque; puissions-nous ne jamais connaître le supplice d'être dédaignés, nargués par l'idole