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» À travers les nuages, la lune glisse et projette mille visions d'opale sur les prés. L'écho répond par un soupir au soupir qu'il écoute. La pensée se souvient, le coeur aime, l'âme prie, et les anges recueillent, pour les confier

En ce moment, tenez, c'est splendide. Les montagnes sont d'union d'opale si fin, si doux, qu'on les croirait transparentes. Tout ce côté de l'est se baigne dans des reflets d'une exquise suavité. Le couchant, au contraire, est embrasé d'un rouge terrible. Le soleil, abaissé sur l'horizon, éclate d'autant plus ardent que des masses opaques de nuages violets s'amoncellent autour de lui.

Un spectacle dont les peuples du Nord ne peuvent se faire une idée, c'est l'Alameda de Grenade au coucher du soleil: la Sierra-Nevada, dont la dentelure enveloppe la ville de ce côté, prend des nuances inimaginables. Tous les escarpements, toutes les cimes frappées par la lumière, deviennent rosés, mais d'un rose éblouissant, idéal, fabuleux, glacé d'argent, traversé d'iris et de reflets d'opale, qui ferait paraître boueuses les teintes les plus fraîches de la palette; des tons de nacre de perle, des transparences de rubis, des veines d'agate et d'aventurine

Cet oreiller, dans les nuits folles, A vu dormir nos fronts unis, Et sous le drap noir des gondoles Compté nos baisers infinis. Entre mes mains de cire pâle, Que la prière réunit, Tournez ce chapelet d'opale, Par le pape

D'un côté, le pont du chemin de fer d'Asnières, un fil noir dans l'air, de l'autre le pont de Clichy, le tablier d'une de ses arches tombé dans l'eau. Sur la route dévastée, sous ce ciel fantastique, dans ce paysage aux couleurs, qui ne sont pas les couleurs d'un jour réel, mais des couleurs, qui semblent des colorations d'opale, vues au crépuscule, la prostitution se promène beaucoup.

Mais revenons au livre du père Didon. Il abonde en descriptions. L'auteur a, comme autrefois M. Renan, fait le voyage d'Orient, et il en a rapporté des paysages qui, sans avoir certes la suavité de ces beaux tableaux de Nazareth et du lac de Tibériade que M. Renan a peints sur nature, ne manquent ni de richesse ni d'éclat. On croit voir avec le pieux voyageur, «les eaux d'opale» du lac de Génézareth et la désolation de la mer Morte. J'ai noté quelques lignes charmantes sur la Samarie. La grande nouveauté du livre, consiste en somme dans un orientalisme pittoresque qui s'associe, pour la première fois, d'une matière assez bizarre,

Et tu l'as tué! Mon Dieu!... Moi, je serais morte de peur... Il comparait les grâces élégantes de l'épouse aux instincts affectueux de la grisette. Chevelure plus belle, mains d'opale, yeux durs et lumineux, corps moins animal en ses attitudes décentes. Elle lui plut davantage... Ah! chère Elvire, je n'aspirais qu'