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M. Pichon, partant de la supposition qu'on ne puisse pas diminuer les dépenses, en conclut avec beaucoup de logique qu'il faudra donc hausser les recettes jusqu'au niveau des besoins. La base de son travail sera donc une augmentation d'impôts de douze

«Vous n'avez pas ou vous n'avez plus de loi qui nécessite votre consentement pour les impôts, car vous en demandez une, et depuis deux siècles vous avez été chargés de plus de trois ou quatre cents millions d'impôts, sans en avoir consenti un seul.

J'oubliais de dire qu'en souvenir et en récompense du service rendu au gouvernement napolitain, la ville du Pizzo est exemptée pour toujours de droits et d'impôts.

Une opinion, assez généralement répandue, a consacré que l'Italie autrichienne est accablée d'impôts dont le produit s'envoie

En vérité, affirma un paysan. Le bon Dieu a eu pitié enfin de la Romagne. Avant, on nous écorchait vifs, on nous tuait d'impôts. On n'avait déj

Paris s'était fort réjoui de cette entrée de la reine. On lui avait promis une diminution d'impôts: tout au contraire, il fallait payer la fête; ce fut Paris qui la paya; en outre, on décria les pièces de douze et de quatre deniers, avec défense de les passer sous peine de la corde. Or, s'était la monnaie du peuple, le seul argent du pauvre, de sorte que le pauvre, c'est-

Les trois ordres n'étaient d'accord que pour refuser au gouvernement les moyens de gouverner. La dette publique était de 43 millions de livres, le quadruple du revenu annuel du royaume. Quoi qu'eût pu dire le Chancelier de la détresse de l'enfant-roi «engagé, endebté, empesché», il ne décida point les députés aux sacrifices nécessaires. Le Tiers se déclara sans pouvoirs pour voter une augmentation d'impôts; la Noblesse et le Clergé repoussèrent une demande de subsides. La Régente, n'en pouvant rien tirer, les congédia (31 janvier 1561), et ordonna la réunion

Louis XI, outre son habileté et sa souplesse, avait un grand avantage: il disposait librement des ressources des provinces qui lui obéissaient. Celles des Pays-Bas, les voyant chargées d'impôts et tenues en grande crainte par les gens de guerre, n'étaient pas tentées de se mettre en même position. Le duc s'irritait de cette différence. Il ne cessait de demander aux états de ses pays de par deç

Tels étaient les désirs modestes de nos bons paysans qui ne voulaient du reste demander ni diminutions d'impôts, ni exemptions de milice, ni privilèges particuliers.

Madame du Plessis-Bellière réussit mieux dans les projets d'alliance pour sa fille. Le surintendant, qui lui avait assuré de riches pensions sur les fermes d'impôts , contribua sans doute par ses largesses