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Mis à jour: 24 juin 2025
Le général d'Erlon, prévenu, avait répandu ses soldats ç
La révolution de Juillet 1830 rappela en France le comte d'Erlon, et il fut réintégré dans son grade. Son nom figura de nouveau sur la liste des lieutenants-généraux en activité, publiée par l'Almanach royal et national de 1831, après en avoir été effacé pendant quinze années. Pair de France, le 19 novembre 1831, M. le comte d'Erlon fut nommé, par ordonnance royale du 27 juillet 1834, gouverneur-général des possessions françaises dans le nord de l'Afrique, et conserva ce commandement jusqu'au 8 août 1833, jour où il quitta Alger, une ordonnance du 8 juillet lui ayant donné pour successeur le maréchal Clauzel, qu'il vient de remplacer
Cependant, l'Empereur, qui n'avait d'autres nouvelles de l'armée de Masséna que celles publiées par les journaux de Londres, ayant enfin reçu les dépêches apportées par le général Foy, ordonna au général comte d'Erlon, chef du 9e corps d'armée, cantonné près de Salamanque, de se rapprocher du Portugal et d'y faire entrer sur-le-champ la brigade Gardanne, dont la mission devait être de chercher l'armée française et de lui amener des munitions de guerre et des chevaux de trait, dont on présumait qu'elle avait grand besoin.
A l'époque où cette loi fut rendue, le nombre des maréchaux de France était de douze. Depuis, six d'entre eux sont morts, et sur ces six vacances, deux promotions ont été faites: celles de M. le lieutenant-général comte Horace Sébastiani et de M. le lieutenant-général comte Drouet d'Erlon.
Le geôlier les interrompit. Il annonçait une visite. Henry de Puiseux et Jean-Nu-Pieds devant quitter la France pour toujours, le comte d'Erlon les avait autorisés
Pendant ce temps, la secrétaire et l'aide de camp du général s'étaient rendus, l'un chez M. le comte d'Erlon, et l'autre chez M. Maurice Duval, pour les prévenir de ce qui venait de se passer.
M. le maréchal Drouet d'Erlon, né
En conséquence, douze cents hommes environ furent mis sur pied. Ils se partagèrent en trois colonnes, dont le général Dermoncourt prit le commandement, accompagné du comte d'Erlon et du préfet, qui dirigeait l'opération.
Le comte d'Erlon envoya sur-le-champ, pour les y maintenir, la seconde brigade du général Alix. Un corps de cavalerie anglaise lui coupa le passage, la mit en désordre, et se jetant ensuite sur nos batteries, parvint
Le comte d'Erlon était un homme fort doux et raisonnable; aussi, dès qu'il eut quitté le camp de Ney, avoua-t-il qu'il n'eût pas été convenable
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