Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 13 juin 2025
Il y eut dans ce mot un accent de conviction qui me fut bien précieux. Et depuis quelque temps, Mathilde, n'avez-vous rien trouvé de singulier dans la conduite d'Emma?
Maintenant, que l'on songe aux remords d'Emma, qui se reprochait sans cesse d'avoir accusé sa mère!
Vu au casino quelques frimousses éminemment modernes. L'image d'Emma Bovary me revient. Pauvre petite femme, si naïve en somme, qui croyait, chaque fois qu'elle aimait,
Depuis le jour venu, elles avaient pris quelque repos. Le jeune prince Albert seul, délicat de santé, avait été atteint de vomissements et était couché sur la poitrine d'Emma Lyonna, qui, admirable dans son dévouement, n'avait pas pris un instant de repos et ne s'était occupée que de la reine et de ses enfants.
Je ne voudrais pas commettre gratuitement une impertinence facile et, si je comparais Madame Bovary et Athalie par exemple, ce ne serait point pour m'amuser, mais pour mieux dégager encore le principe des jugements de M. Brunetière. Je suppose qu'Athalie et Madame Bovary sont, dans des genres très divers et tout compensé, deux oeuvres de perfection égale. Il est clair que M. Brunetière n'en mettra pas moins la tragédie de Racine fort au-dessus du roman de Flaubert. Je demande ingénument pourquoi. Car enfin je vois bien que le style de Racine est plus noble, plus abstrait, plus majestueux; mais celui de Flaubert est assurément plus coloré et plus plastique. Les deux oeuvres sont peut-être aussi solidement composées l'une que l'autre et, si la grandeur et l'extrême simplification ont leur prix, le détail multiple et vivant a le sien. L'âme d'Emma n'est point celle de Joad; mais elle est tout aussi profondément étudiée. La mort d'Emma donne bien une émotion aussi forte que la mort d'Athalie. Les effets ne sont pas les mêmes dans la tragédie et le roman, les conditions mêmes et les conventions des deux genres étant différentes; mais ces effets sont peut-être équivalents. Je ne parle point de l'impression dernière et totale que laissent les deux oeuvres, de leur retentissement dans la conscience, dans l'imagination, dans l'intelligence: je paraîtrais trop prévenu. Qu'est-ce donc qui fait quand même, pour M. Brunetière, la supériorité d'Athalie? Il reste que ce soit la plus haute qualité intellectuelle, morale et sociale des personnages, et la plus grande dignité de l'action, c'est-
Hélas! aigrie par tant de chagrins, je perdais sans doute mon élévation première; la vue du bonheur d'Emma, de madame de Richeville, auquel j'avais tant contribué, me ravissait toujours, mais il me faisait aussi songer
Cela réalisé, on n'aurait plus qu'une mauvaise chance de son côté; celle résultant de l'étonnement d'Emma en voyant surgir lord Harley; mais contre celle-l
En même temps il posa sur la toilette l'épître même d'Emma, cette missive dont la perte avait causé tant de chagrin
La pauvre femme, après la Révolution, vécut de sa plume, comme auparavant, écrivant pour les libraires force traductions de l'anglais et de temps en temps des romans: Amélia et Caroline, ou l'Amour et l'Amitié; Alphonse et Mathilde, ou la Famille espagnole; Rose et Albert, ou le Tombeau d'Emma . C'est le dernier de ses ouvrages, et probablement la fin de sa vie.
Depuis assez longtemps je souffrais d'une fièvre lente, toujours négligée; les événements s'étaient tellement pressés, j'avais été forcée d'y prendre une part si active, toutes mes facultés avaient été si violemment surexcitées depuis la première maladie d'Emma jusqu'
Mot du Jour
D'autres à la Recherche