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Mis à jour: 28 mai 2025


La révolution d'Aranjuez était faite lorsque cette dépêche arriva.

M. de Beauharnais était embarrassé, il n'avait point de lettres de créance près du nouveau roi. On ne lui avait adressé aucune instruction depuis la révolution d'Aranjuez, et il se trouva d'autant plus

Il y a plus de tendresse émue, et je ne sais quelle abdication touchante de tout autre sentiment que l'admiration dans les paroles de l'aïeul tenant la main de Jeanne, ou l'écoutant jaser, ou la regardant marcher, rire, dormir. Le poète a pour cette frêle créature aux yeux de «myosotis» la même dévotion qu'un courtisan d'Aranjuez pour son Infante, et il ne passe pas devant le frais berceau sans y laisser tomber un madrigal: Car on se lasse même

Le penchant du roi devint bientôt on ne peut pas plus vif. Ayant vu les armes envoyées au prince de la Paix, il conçut et exprima le désir d'en avoir de pareilles. On se hâta d'en faire fabriquer de magnifiques, qu'il reçut avec une véritable joie. La reine aussi désira des parures, et madame Bonaparte, dont le goût était renommé, lui envoya tout ce que Paris produisait en ce genre de plus recherché et de plus élégant. Charles IV, généreux comme un Castillan, ne voulut pas rester en arrière, et prit soin de s'acquitter d'une manière toute royale. Sachant que des chevaux seraient agréables au Premier Consul, il dépeupla de leurs plus beaux sujets les haras d'Aranjuez, de Medina-Coeli et d'Altamire, pour trouver d'abord six, puis douze, puis seize chevaux, les plus beaux de la Péninsule. On ne sait il se serait arrêté, si on ne l'avait modéré dans son ardeur. Il employa deux mois

1808. Je suis nommé aide de camp de Murat. Nouvelles intrigues de Napoléon. Révolution d'Aranjuez. Abdication de Charles IV. Je sauve Godoy du massacre. Entrée de Ferdinand VII

J'envoyai sur-le-champ ordre au commandant d'Aranjuez d'arrêter le détachement de cavalerie espagnole, de le garder jusqu'

D'Aranjuez

Cette première visite dura plus de deux heures. Trois jours après, don Philippe revint seul et me dit sans préambule: «Je croyais apprendre une nouvelle au roi, en lui disant que j'avais fait la connaissance d'une dame étrangère fort aimable, et en lui rapportant une partie des anecdotes intéressantes que vous nous ayez racontées. Comment! s'est écrié notre gracieux souverain, elle est ici. Je ne me suis donc pas trompé en croyant l'apercevoir dans le jardin d'Aranjuez le jour de la Saint-Ferdinand. C'est bien mal

Madrid, 15 mai 1681. Je ne suis point encore partie; les pluies ont été si excessives et si continuelles ici, que les carrosses ni les litières ne peuvent se mettre en chemin. Présentement que le temps se met au beau, et qu'on nous fait espérer que nous apprendrons par le premier courrier, que le roi a nommé le successeur de M. de Villars, je partirai plus volontiers avec la certitude qu'il ne demeurera pas long-temps ici après moi. Leurs majestés Catholiques revinrent samedi d'Aranjuez. La reine a eu la bonté de me dire qu'elle eût été au désespoir d'en revenir sitôt, sans la joie qu'elle avoit de me revoir. Elle n'a pas pourtant engraissé dans ce charmant séjour. Je l'ai trouvée changée. J'ai vu la reine mère ces jours passés, dont j'ai tous les sujets du monde de me louer, par toutes les choses obligeantes qu'elle dit de la conduite de M. de Villars et de la mienne, quant

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