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Mis à jour: 14 juillet 2025
Lors de la sage ordonnance d'Andujar, les clameurs contre le prince furent telles que le ministère fut obligé de la casser. À dater de ce moment, monsieur le duc d'Angoulême cessa de prendre aucune part politique aux affaires de la Péninsule, se bornant
Peu de jours après le départ du duc d'Angoulême, un convoi apporta la célèbre ordonnance d'Andujar, qui fut reçue avec un applaudissement universel par l'armée française, par les libéraux et par les modérés, et avec un dépit mal déguisé par la régence. La joie fut au comble
Il accepta, et envoya près du général Reding des officiers pour régler la position des troupes, et les conditions d'un armistice qui fut conclu de suite. Il avait eu aussi la précaution d'envoyer en observation le plus loin possible sur la route d'Andujar, par laquelle il était venu, afin d'être prévenu, si le corps espagnol du général Castaños s'approchait, parce qu'il présumait bien que ce général se serait mis
Je rappelle ici la célèbre ordonnance d'Andujar, qui fut l'objet des plus vifs débats entre les cabinets. Elle était sage, nécessaire, indispensable, et ceux qui voulaient perpétuer le désordre en Espagne pouvaient seuls la blâmer. Le prince de Metternich l'attaqua avec la plus grande ardeur. Une guerre civile ne se termine que par des transactions et des amnisties. Ballesteros, qui commandait l'armée principale, avait mis bas les armes
Dupont avait envoyé un officier d'état-major, M. de Villoutray, sur la route d'Andujar, le plus loin possible, pour être averti de l'approche du général Castaños. Lorsque cet officier reçut les ordres du général Dupont, l'armistice était conclu avec le général Reding. Que croirait-on qu'il fit? Je le donne en mille au plus fin, et vais le raconter comme il me l'a dit lui-même, lorsqu'il est venu
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