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Mis à jour: 8 juin 2025
Les bas-reliefs qui décorent le palais d'Aménophis sont, en général, relatifs
C'est aux quatorze grandes colonnes de Louqsor que finissent les travaux du règne d'Aménophis, sous lequel ont cependant encore été décorées la deuxième et la septième des deux rangées, en allant du midi au nord. Les bas-reliefs appartiennent au règne du roi Hôrus, fils d'Aménophis, et les quatre dernières au règne suivant.
La déesse Thèbes adresse ces paroles au jeune roi Alexandre, auquel Ammon générateur dit en même temps: «Nous accordons que les édifices que tu élèves soient aussi durables que le firmament.» On ne trouve que cette seule partie moderne dans le vieux palais d'Aménophis: car il ne vaut la peine de citer le fait suivant que sous le rapport de la singularité.
Ces deux colosses décoraient, suivant toute apparence, la façade extérieure du principal pylône de l'Aménophion; et, malgré l'état de dégradation où la barbarie et le fanatisme ont réduit ces antiques monuments, on peut juger de l'élégance, du soin extrême et de la recherche qu'on avait mis dans leur exécution, par celle des figures accessoires formant la décoration de la partie antérieure du trône de chaque colosse. Ce sont des figures de femmes debout, sculptées dans la masse même de chaque monolithe et n'ayant pas moins de quinze pieds de haut. La magnificence de leur coiffure et les riches détails de leur costume sont parfaitement en rapport avec le rang des personnages dont elles rappellent le souvenir. Les inscriptions hiéroglyphiques gravées sur ces statues formant en quelque sorte les pieds antérieurs du trône de chaque statue d'Aménophis, nous apprennent que la figure de gauche représente une reine égyptienne, la mère du roi, nommée Tmau-Hem-Va, ou bien Maut-Hem-Va, et la figure de droite, la reine épouse du même Pharaon, Taïa, dont le nom était déj
Le troisième spéos d'Ibrim est du règne suivant, de l'époque d'Aménophis II, successeur de Moeris, sous lequel les terres du midi étaient administrées par un autre prince, nommé Osorsaté.
Les tombes royales véritablement achevées et complètes sont en très-petit nombre, savoir: celle d'Aménophis III (Memnon), dont la décoration est presque entièrement détruite; celle de Rhamsès-Meïmoun, celle de Rhamsès V, probablement aussi celle de Rhamsès le Grand, enfin celle de la reine Thaoser. Toutes les autres sont incomplètes. Les unes se terminent
Georges LEGRAIN et NAVILLE. L'Aile droite du pylône d'Aménophis III
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