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Mis à jour: 3 juillet 2025


Est-il donc présomptueux d'affirmer que la passion du pouvoir et celle de la possession, ces principaux moteurs de la vie mécaniste du monde, sont mortelles et même que, bien qu'elles soient actuellement

Je lui donnerais raison si elle se contentait d'affirmer qu'il ne faut pas abuser de la poésie subjective et du sentiment personnel. Il est certain que trop de poètes restent enfermés dans leur Moi, s'analysant avec complaisance, épiant leurs moindres sensations pour nous les décrire, ramenant avec une regrettable insistance la conversation sur leurs peines de coeur et leurs déceptions en amour. Ces confidences intimes sont de la poésie; elles ne peuvent être toute la poésie. La description d'un Moi est décidément un sujet trop mince. Le poète, reclus en lui-même, n'a plus aucune occasion de se renouveler, de se développer; il tourne dans un cercle d'idées et de sentiments de plus en plus étroit. En même temps qu'il se retire de nous, il nous éloigne de lui. Quelle sympathie réelle peut nous porter vers cet homme qui n'a pas une pensée pour nous? Il restera donc enfermé dans son splendide isolement, et perdra presque toute action sur les âmes. Que le poète commence donc par vivre sa vie personnelle; que jeune il chante son amour, ses désirs et ses mélancolies. Mais cette poésie de la vingtième année ne saurait lui suffire. Qu'ensuite il sorte de lui-même. Qu'il s'aperçoive que les hommes existent, qu'il y a d'autres intérêts que les siens, d'autres souffrances que les siennes. Qu'il nous parle de nous-mêmes; qu'il s'intéresse

Sur ce dernier point, je crois intéressant de remarquer que Bérillon se contente d'affirmer sans rien prouver. On aurait été curieux d'avoir sous les yeux une statistique de bons élèves et de mauvais élèves, et d'étudier le pourcentage des hypnotisables dans ces deux catégories. C'est ainsi que nous procédons en psychologie expérimentale, nous donnons nos chiffres, et nous les laissons parler. L'habitude maintenant est si bien prise que lorsque nous rencontrons une affirmation sans preuves, nous la considérons comme une impression subjective, sujette

Il serait téméraire d'affirmer que cette veuve de vingt-deux ans, belle, riche et remarquée dans le monde pour sa grâce, ses talents et son esprit, ne fut pas humiliée et indignée jusqu'

Stendhal fut ainsi critiqué avec violence, d'abord par Berlioz qui avait relevé, sans doute avec raison, plus d'une inexactitude de vocabulaire musical dans les livres de son compatriote. Le grincheux M. Saint-Saëns jugea bon, cinquante ans plus tard, de lui faire écho. Il ne limita pas ses griefs au seul domaine il lui fut permis de les formuler sans ridicule; il ne craignit pas d'aborder les lettres pures et d'affirmer la stupidité de tous les livres de Stendhal dans le moment même il reconnaissait n'avoir jamais pu en lire dix pages. Il n'en affirmait pas moins, entre autres choses, que les Vies de Haydn, Mozart et Métastase renferment des opinions du dernier bourgeois sur la musique. L'attaque

Vous me rendrez la justice d'affirmer que je n'ai pas douté un instant du bon accueil qu'il recevrait, dit le chevalier; j'ai beau être souvent opposé aux raisonnements de madame Mansley, je n'en ai pas moins d'admiration pour son caractère. Mais il ne s'agit pas de mettre

Elle n'avait certainement pas dépassé les limites de son droit. Avait-elle dépassé celles de la prudence? Au lieu d'affirmer sur-le-champ, en principe la nécessité et en fait l'absence de l'harmonie entre la Chambre et un ministère qui n'avait encore rien fait, et n'était suspect qu'

Il n'est pas douteux que les événements qui se passèrent en Amérique n'aient hâté l'avènement de la Révolution française. Je suis loin d'affirmer qu'ils en aient été l'unique cause, et il suffirait pour s'en convaincre de remarquer que les Français qui combattirent pour la cause des Américains, soit

Un chroniqueur, postérieur de deux siècles, ne craint pas d'affirmer qu'Eudes, qui faisait la guerre pour Louis, tua aux Normands cent mille hommes.

La réclusion et une angoisse sans nom avaient mis sur le visage de Gertrude quelque chose d'indéfinissable, qui impressionnait péniblement. Le docteur Cébronne avait raison d'affirmer que certaines secousses, en se prolongeant, peuvent briser un organisme délicat. En méditant les charges qui pesaient sur elle, en suivant, dans ses nuits sans sommeil, la logique de l'accusation, en ne réussissant pas

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betlem

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