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Mis à jour: 17 juin 2025
Au lieu d'avoine, ils nourrissent leurs chevaux avec de l'herbe et du maïs broyé. S'ils veulent les engraisser, ils réduisent le maïs en farine, dans laquelle ils mêlent du lait. Ils les font boire rarement. Le grand défaut de leurs chevaux est de n'avoir pas de bouche. Le Sénégal et le pays de la Gambie produisent beaucoup d'ânes. Toutes sortes de bestiaux y sont dans la même abondance.
De longues files d'ânes et de chameaux, chargés des marchandises de Jenné, s'enfonçaient sous les beaux arbres; bientôt un amphithéâtre de maisons basses apparut
Cet homme, qui me parlait de nos dernières courses avec lui en 1844, comme s'il se fût agi d'hier, et dont je reconnaissais la figure de contrebandier espagnol, c'était Moreau, le pêcheur de truites, le loueur d'ânes et de chevaux, le messager, le guide, le factotum actif et intelligent des voyageurs en Creuse.
Des ânes alors?... dit Ahmet. Pas plus d'ânes que de mulets! Pas plus d'ânes!... s'écria le seigneur Kéraban. Ah ça! vous moquez-vous de moi, monsieur le maître de poste! Comment, pas d'ânes dans le pays! Pas de quoi faire un attelage, quel qu'il soit? Pas de quoi relayer une voiture?»
Gontran aurait pu objecter que les cheveux se teignent et qu'une brune devient sans peine une rousse; mais, en ce disant qu'il y a tant d'ânes,
A Paris, le 14 de la lune de Zilhagé, 1713. Que penses-tu des chrétiens, sublime dervis? Crois-tu qu'au jour du jugement ils seront comme les infidèles Turcs, qui serviront d'ânes aux Juifs, et seront menés par eux au grand trot en enfer? Je sais bien qu'ils n'iront point dans le séjour des prophètes, et que le grand Ali n'est point venu pour eux. Mais, parce qu'ils n'ont pas été assez heureux pour trouver des mosquées dans leur pays, crois-tu qu'ils soient condamnés
Les chariots traînés par des bœufs, les files d'ânes, se suivaient
Quelques jours après, je puis enfin marcher, et je vais me promener avec mon fidèle Godé. Nous parcourons la ville. Elle me fait l'effet d'un vaste amas de briques préparées pour recevoir le feu. Partout nous trouvons le même adobe brun, les mêmes leperos de mauvaise mine, flânant aux coins des rues; les mêmes jeunes filles aux jambes nues et chaussées de pantoufles; les mêmes files d'ânes rossés; les mêmes bruits et les mêmes détestables cris. Nous passons devant une espèce de masure dans un quartier éloigné, et nous sommes salués par des voix sortant de l'intérieur. Elles crient; Mueran los Yankees! Abajo los Americanos! Sans doute le pelado
Médor fut heureux de tout ce que je lui racontais de ma vie calme et heureuse, de la bonté de mes maîtres, de ma bonne et même glorieuse réputation dans le pays; il gémit avec moi au récit de mes tristes aventures; il rit, tout en me blâmant, des tours que j'avais joués au fermier qui m'avait acheté du père Georget; il frémit d'orgueil au récit de mon triomphe dans la course d'ânes; il gémit de l'ingratitude des parents de la pauvre Pauline, et il versa quelques larmes sur le triste sort de cette malheureuse enfant.
C'est incroyable le nombre de maisons, de paysans, de troupeaux d'oies, de chopes de bière, de garçons d'écurie, d'adjoints, de plats de viande réchauffés, de curés de village, de personnes lettrées, de hauts dignitaires, de plants de houblon, de chevaux vicieux et d'ânes éreintés qui m'ont passé devant les yeux....»
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