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Mis à jour: 3 juin 2025
J'ai toujours eu un pressentiment aventureux. Mon imagination s'exerçait sans cesse sur des vicissitudes de fortune. Je me créais des situations singulières. Je voulais savoir tout ce qui était utile pour toutes les circonstances de la vie. Quand ma bonne allait voir sa mère, deux ou trois fois dans l'été, je l'obligeais
«C'étaient mes premières excursions dans le pays du rêve: l'attraction commençait, attraction terrible, qui vous entraîne si loin, si loin, qu'il n'est plus de retour possible. Quand j'étais seul, je fermais les yeux et je regardais... Quoi? La nuit, la nuit dont j'éprouvais l'amour, que je recherchais, que je désirais... Dans ces ténèbres volontairement formées pour moi seul, je créais par l'imagination un monde qui m'appartenait, et dans lequel nul n'avait pénétré et ne pénétrerait jamais. Jouissance égoïste que peuvent apprécier ceux-l
En attendant la visite de la Fortune, dans mon lit, car j'ai toujours été paresseux avec délices, je me créais des relations: de Calonne, Mirabeau, etc. Je fréquentais particulièrement chez madame du Barry, madame de Flahaut, madame de Buffon, et j'étais assidu dans les salons du Faubourg.
Je me souviens que je créais, par exemple, un petit substitut Pivert si abominablement frappant qu'il s'accouplait de lui-même avec Mlle Agathe, la Sévigné d'Yvetot, formant
Dans l'antiquité, poursuivit l'impitoyable défenderesse, le vice était sacré parce qu'on était fort. Dans notre siècle, il est honteux parce qu'il naît de nos épuisements. Si on était fort, et si, de plus, on avait des griefs contre la vertu, il serait permis d'être vicieux, en devenant créateur, par exemple. Sapho ne pouvait pas être une fille, c'était bien plutôt la vestale d'un feu nouveau. Moi, si je créais une dépravation nouvelle, je serais prêtresse, tandis que mes imitateurs se traîneraient, après mon règne, dans une fange abominable... Ne vous paraît-il point que les hommes orgueilleux, en copiant Satan, sont bien plus coupables que le Satan de l'
Quand je faisais des romans, que je créais des personnages, ma création me tenait compagnie, faisait ma société, peuplait ma solitude; je vivais avec les bonshommes et les bonnes femmes de mon bouquin. L'Histoire avec ses personnages défunts, ne vous donne pas cette illusion, cette hallucination, si vous voulez.
Alors chacun prit sa place, place fixée par l'étiquette, Grégoriska près de moi. J'étais l'étrangère, et, par conséquent, je créais une place d'honneur
Ce n'est pas le but que je poursuivrai: celui que je voulais, je l'ai en grande partie obtenu; si maintenant je gagnais de l'argent et me créais une riche clientèle, la jalousie de mes confrères me ferait manquer ou attendre trop longtemps ce que je veux encore et ce que mon ambition préfère
Je me dis alors que j'étais bien fou de raisonner et que vraiment je me créais
Insensé, en une seconde de plaisir, je créais des parias et des misérables; sans perspective d'un avenir meilleur j'infligeais
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