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Mis à jour: 6 octobre 2025


Paul-Louis Courier note dans ses oeuvres une conversation très-brillante qu'il soutint contre la comtesse d'Albany et Fabre dans cette occasion. 1813 sonnait la chute de l'empire et la décomposition momentanée de l'oeuvre politique. Mme d'Albany regardait, comme elle le dit, de sa fenêtre, passer le flux et le reflux des événements.

Quand l'empire voulut s'établir, qui vota surtout contre lui? l'armée. Cette armée avait eu dans ses rangs Oudet et les Philadelphes. Elle avait eu Mallet, et Guidal, et mon parrain, Victor de Lahorie, tous trois fusillés en plaine de Grenelle. Paul-Louis Courier était de cette armée. C'étaient les anciens compagnons de Hoche, de Marceau, de Kléber et de Desaix.

Un maître en l'art d'écrire, Paul-Louis Courier, nous a laissé sur ces moeurs chevaleresques une page étincelante d'esprit et de verve, et bien vraie cependant. «Imaginez, dit-il, ce que c'est. La cour.... Il n'y a ici ni femmes ni enfants: écoutez. La cour est un lieu honnête, si l'on veut, et cependant bien étrange.

Silvio Pellico eut huit ans de Spielberg pour son Conciliateur; Paul-Louis Courier, deux mois de Sainte-Pélagie pour son Simple Discours. Je ne dirais rien de Béranger, qui fut longtemps

«Louis, le modèle des rois, dit Paul-Louis Courier, vivait, c'est le mot,

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