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Mis à jour: 1 juillet 2025


Quant aux blancs, il ne me plaisait guère d'interroger ces sinistres fantoches. D'ailleurs, tous trois s'y prêtaient peu. L'hetman de Jitomir sombrait de plus en plus dans l'alcool. Ce qui lui restait de raison, il semblait qu'il l'eût liquidé le soir qu'il avait évoqué pour moi sa jeunesse. Je le rencontrai de temps en temps dans les couloirs devenus soudain pour lui trop étroits, fredonnant d'une voix pâteuse un couplet de l'air de la Reine Hortense: De ma fille Isabelle Sois l'époux

Comme elle achevait le second couplet, es applaudissements éclatèrent derrière les jeunes filles; une voix féminine, puissamment timbrée, cria, accentuant le mot l'italienne: Brava ! brava !... Tout

Un autre point m'a beaucoup frappé. Après le troisième acte, je me demandais avec curiosité comment M. Paul Delair allait encore trouver la matière de deux actes. Un acte d'exposition, un acte pour le meurtre, un acte pour les remords, enfin un acte pour la punition: cela me semblait la seule coupe possible. Mais cela ne faisait que quatre actes, et j'étais d'autant plus surpris que le gros du drame, le spectre et tout le tremblement se trouvaient au troisième acte, ce qui demandait, pour la bonne distribution d'une pièce, un dénoûment rapide, dans un quatrième acte très court. M. Paul Delair voulait cinq actes, et il a tout bonnement rempli son quatrième acte par un interminable couplet patriotique. J'avoue que je ne m'attendais pas

Il en était au troisième couplet de sa chanson et

On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps; L'humble toit dans cinquante ans Ne connaîtra d'autre histoire. Ainsi parle le poète dans sa délicieuse chanson. Et continuant, il donne la vraie note dans un autre couplet: Mes enfants dans ce village, Suivi de rois, il passa.

Au temple du Seigneur, Quel est celui qui prie Pour sa chère patrie Avec plus de ferveur? C'est l'ouvrier, C'est l'ouvrier! REFRAIN: Reposons-nous, joyeux confrères, De nos labeurs, de nos efforts. Amusons-nous comme nos pères, Soyons unis pour être forts! En vrais lurons, Sur tous les tons, Chantons, chantons! 4ème COUPLET

«En effet, mon officier y était; je m'approchai de lui, comme il chantait un lai d'amour en regardant tendrement une femme, et je l'interrompis au beau milieu du second couplet. « Monsieur, lui dis-je, vous déplaît-il toujours que je retourne dans certaine maison de la rue Payenne, et me donnerez-vous encore des coups de carme, s'il me prend fantaisie de vous désobéir

Chacun raconta ensuite une anecdote, et ceux qui ne surent pas remplir cette partie du programme, furent forcés, bon gré, mal gré, de chanter un couplet.

On dit en dansant le premier couplet de cette ronde. On s'interrompt pour faire le métier que l'on veut imiter; puis on reprend la danse avec ce couplet: Sur le pont d'Avignon. Les enfants pourront choisir les métiers qui leur plairont le mieux. A-voine, avoine, a-voi-ne, Que le bon Dieu t'a-mè-ne. Qui veut sa-voir Et qui veut voir Comment on sè-me l'a-voi-ne?

Enfin arrive le couplet final, il est dit: J'ons un beau mari

Mot du Jour

qu'oublieuse

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