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Conquète remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: Chère Amie?... ma main en fera... autant

L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (Connète) fourrait un doigt pommadé dans le cul de ma fouteuse, pour la faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher fat... son cher Centlouis... son cher payeur

Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis que Cord

Avec votre connin satiné, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon maître! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels soubresauts... Ma foi, elle décharge... Piquez des deux... Comme elle trémousse des fesses, la céleste petite amie! comme elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de cul!... Quels soupirs!... Elle redécharge!...

Minone, Conette, ou la belle-mère arrivaient toujours, Traitdamour en allant chercher une dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la charmante enfant dans sa chambre par une porte dérobée; j'ouvrais, et je foutais délicieusement, les couilles chatouillées par Traitdamour. Il enconnait ensuite la même, soeur ou belle-mère, et je lui maniais les couilles.

Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller mon vit après décharge, gigotait, trémoussait, tremblotait sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traitdamour, toujours bandant, était revenu vers nous. Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle décharge encore... Et toi (dis-je

Oh! vous avez bien raison, mon mari! Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement: Chère amie!... ma main en fera... autant

Et quand la mort la frappera Cette chair qui me fut un dieu, Comme auguste, elle fixera Ses éléments, en marbre bleu! Même quand tu ne bandes pas, Ta queue encor fait mes délices Qui pend, blanc d'or entre tes cuisses, Sur tes roustons, sombres appas. Couilles de mon amant, soeurs fières À la riche peau de chagrin D'un brun et rose et purpurin, Couilles farceuses et guerrières,

En votre honneur, sur la fougère, Je veux remuer la croupière, Saint Garcelin. Je fouterai sans cesse, En dépit de maman. Non, rien ne m'intéresse Que le vit d'un amant Quand je sens ses deux couilles, Je pâme de plaisir, Et bientôt je m'embrouille, Son vit me fait mourir. Maman, dans son jeune âge, Foutait sans doute aussi; Et mon père, je gage, Dut avoir un bon vit.

J'en espérai un Adonis... Elle resta ensuite immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit et les couilles; puis nous nous recouchâmes. Je la re-enconnai.