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Mis à jour: 12 juin 2025
«Eh! couche-toi, si tu veux!... Tu vois bien que je veux achever quelque chose.» Un instant, elle demeura encore, saisie devant cette colère, la face douloureuse. Puis, se sentant importune, comprenant que sa seule présence de femme inoccupée le mettait hors de lui, elle quitta la table et alla se coucher, en laissant la porte grande ouverte. Une demi-heure, trois quarts d'heure s'écoulèrent; aucun bruit, pas même un souffle, ne sortait de la chambre; mais elle ne dormait point, allongée sur le dos, les yeux ouverts dans l'ombre; et elle se risqua timidement
CAMILLE. Couche-toi, ma chère
J'en suis bien contente, mon enfant; mais prends garde de t'enrhumer. Couche-toi bien vite.» Pendant que Mme Dabrovine et sa fille préparaient leur coucher et causaient des événements de la journée, le général causait de son côté avec Dérigny, qui devenait de plus en plus son confident intime.
Disparais, astre radieux ! Couche-toi sous cette mer libre. et laisse une nuit de six mois étendre ses ombres sur mon nouveau domaine ! »
«Décidément, Lieverlé, dit le piqueur, tu fais un mauvais rêve. Allons, couche-toi, ne m'agace plus les nerfs.» Au même instant, un bruit extérieur frappa nos oreilles. La porte s'ouvrit, et le gros, l'honnête Tobie Offenloch, son falot de ronde d'une main, sa canne de l'autre, le tricorne sur la nuque, la face riante, épanouie, apparut sur le seuil.
HENRI. Tais-toi, grosse bedaine; couche-toi l
La grand'mère se leva, embrassa son enfant. Assez travaillé pour ce soir, Marie! Demain, nous nous y remettrons de bonne heure; vois, j'ai fini mon ourlet... La jeune fille essaya de résister. Elle trouvait une consolation dans son travail. Mais la grand'mère l'entraînait, lui donnait une bougie. Couche-toi, vite. Et toi? Je te rejoins, tout de suite. Bonne nuit, maman Renaud.
Tout beau, fauve grondeur, demeure dans ton antre, Il n'est pas temps encor; couche-toi sur le ventre; De ta queue aux crins roux flagelle-toi les flancs, Comme un sphinx accroupi dans les sables brûlants, Sur l'oreiller velu de tes pattes croisées Pose ton mufle énorme, aux babines froncées; Dors et prends patience, ô lion du désert; Demain, César le veut, de ton cachot ouvert, Demain tu sauteras dans la pleine lumière, Au beau milieu du Cirque, aux yeux de Rome entière, Et de tous les côtés les applaudissements Répondront comme un choeur
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