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Que vous dirai-je, M. Fritz? depuis ce temps tout est bien changé dans la maison. Victor va de mieux en mieux; il s'est même levé un peu ce matin; et les médecins, qui l'avaient abandonné, sont confondus de cette cure étonnante. Nous n'avons plus d'autre chagrin ici, que le juste regret que nous éprouvons tous de la mort de M. le baron de Fritzierne. Victor, qui n'a su qu'hier ce malheur, en a bien pleuré. M. de Rosange lui-même, qui brûlait du desir de voir, d'embrasser M. le baron, de remercier cet homme généreux des soins qu'il a pris de son petit-fils, M. de Rosange partage notre douleur, et nos amans sur-tout sont inconsolables. Cependant, s'ils ont perdu un bon père, le sort leur en a fait rencontrer un autre bien tendre aussi, et bien estimable. M. de Rosange est l'aïeul de Victor; il a connu l'amour, puisqu'il a chéri madame du Sézil et sa fille Adèle. M. de Rosange ne peut que s'attacher de plus en plus

Confondus dans la foule des ouvriers et des marchands qui venaient, ainsi qu'eux, commencer leur journée par la prière, ce fut seulement au sortir et sur le seuil du porche que l'artiste et le médecin se rencontrèrent.

Le faux et le vrai étaient si perfidement combinés et confondus dans cette horrible calomnie, que le monde, par indifférence on par méchanceté, devait tout admettre sans examen. J'osais

Le traité fait avant la prise de la ville fut renouvelé après la conquête, et il est probable que c'est alors que les concessions obtenues passèrent au nom de la commune de Gênes, de quelque manière que les intérêts des actionnaires de la compagnie aient été indemnisés ou confondus dans ceux du corps de la république. Ces conventions sont écrites en forme de décrets royaux4. Baudouin y reconnaît que Dieu a donné la ville d'Accon

Zola est un grand poète lyrique, un psychologue pénétrant, un historien synthétique des mœurs, un anatomiste audacieux des nerfs, des muscles, du sang et des réflexes de la carcasse humaine; il est aussi un philosophe humanitaire, un socialiste pacifique, un rêveur de paradis terrestres, un constructeur de Tours de Babel collectivistes, tous les ouvriers confondus finiraient par s'entendre, sans parler la même langue; il est, enfin, un grand écrivain coloré, majestueux, épique; sa place, dans le Panthéon de la littérature moderne, est entre Hugo et Balzac, mais il ne saurait être comparé, comme inspirant le rire,

Telle fut cette troisième fédération de la France républicaine. On n'y voyait pas, comme en 1790, toutes les classes d'un grand peuple, riches et pauvres, nobles et roturiers, confondus un instant dans une même ivresse, et fatigués de se haïr, se pardonnant pour quelques heures leurs Différences de rang et d'opinion; on y voyait un peuple immense, ne parlant plus de pardon, mais de danger, de dévouement, de résolutions désespérées, et jouissant avec ivresse de ces pompes gigantesques, en attendant de courir le lendemain sur les champs de bataille. Une circonstance relevait le caractère de cette scène, et couvrait ce que des esprits dédaigneux ou hostiles pourraient y trouver de ridicule, c'est le danger, et l'entraînement avec lequel on le bravait. Au premier 14 juillet 1790, la révolution était innocente encore et bienveillante, mais elle pouvait n'être pas sérieuse, et être mise

L'antépirrhème est cet éloge fantastique des chevaux confondus avec les Chevaliers, dont nous avons signalé la brillante poésie dans l'analyse de la pièce.

Elles entrèrent. Il était un peu plus de deux heures et demie: Me Porterieux, venimeux et insolent, achevait de plaider. Aux tribunes et dans la salle, le public se pressait, gens du monde et gens du peuple confondus, pour happer la curée chaude que leur servait l

Stéphanie qui portait la lumière s'arrêta devant le lit, et ses deux compagnes regardèrent avec elle. Auberte et Camille dormaient ensemble, la plus petite dans les bras de l'aînée, étroitement serrées l'une contre l'autre, leurs cheveux confondus sur l'oreiller. Avec un sourire aimant, Mme Droy prit dans ses bras son démon de petite fille et l'emporta sans l'éveiller.

La poésie nationale eut pourtant chez les Hongrois beaucoup d'ennemis, dont le premier et le plus redoutable fut le christianisme, qui la rencontrait en face de lui comme une gardienne vigilante de la vieille barbarie et un adversaire de toute nouveauté. Les chants magyars, historiques et guerriers, étaient, par leur nature même, saturés de paganisme; on y rapportait aux dieux les exploits et les conquêtes de la nation; on y parlait sans cesse d'aldumas, festins religieux petits et grands, confondus