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Mis à jour: 1 mai 2025


Serafino eut un compétiteur et un rival dans Antonio Tebaldeo de Ferrare, en 1463, médecin de profession, poëte, et qui paraît s'être plus occupé de poésie que de médecine. Dans sa jeunesse, il s'adonna principalement

Comprenant aussitôt qu'il craignait de trouver en elle un compétiteur dangereux

«Le nouveau roi, auquel le parti français, soit par fatigue, soit par prudence, n'opposa aucun compétiteur, poussé par un penchant héréditaire

L'Aragonais, roi de Naples, certain que l'assistance des forces maritimes génoises pouvait seule rendre redoutable son compétiteur, voulait avoir dans Gênes une telle influence qu'elle le garantît contre ce danger. Le doge Fregose et sa race ayant embrassé cette cause, Alphonse était devenu leur ennemi irréconciliable. Il protégeait ouvertement les Adorno et les Fieschi; et, ayant pris soin de les lier étroitement ensemble, il se flattait de disposer par eux des populaires et des nobles. Dans l'occasion présente, Fieschi était exclu par sa noblesse de la première place du gouvernement; il fallait Adorno pour être doge; car désormais un Adorno seul pouvait succéder

L'usage de charger ses ennemis de crimes odieux, même des plus invraisemblables, n'est pas d'hier. Les Génois accusèrent les Pisans d'avoir traité secrètement avec la veuve du compétiteur de Henri. Enfin on se sépare de plus en plus aigris; les Génois reprennent la mer. Ils font lever le siège de Catane attaquée par la veuve de Tancrède. Ils s'emparent de Syracuse: tout se rend, excepté Palerme. Ils reviennent

Mais pourquoi douter, comme quelques biographes ont osé le faire, de la véracité du respectable instituteur quand il assure n'avoir eu aucune connaissance des procédés de ses prédécesseurs, encore moins de ceux de son compétiteur, le juif portugais Jacob Rodrigues Pereire ? La manière dont lui-même rend compte de son opinion personnelle sur eux n'est-elle pas d'ailleurs une preuve sans réplique de la candeur de cette belle âme qu'absorbait tout entière le plus sincère désir de faire le bien et d'en céder même la gloire

Le gouvernement présent de la république orientale est, comme la plupart de ceux de l'Amérique espagnole, un gouvernement de fait, produit d'une guerre civile. Depuis la fin de 1838, il est entre les mains du général Fructuoso Rivera, militaire heureux, homme habile et politique rusé, esprit fécond en ressources, débonnaire et de moeurs faciles, mais administrateur insouciant de la fortune publique, qu'il dilapide et laisse impunément dilapider. Ambitieux et remuant, le général Rivera semble n'aimer du pouvoir que les jouissances vulgaires; il travaille peu; il n'a ni les qualités ni les défauts des grands caractères: sa conduite paraît mesquine en toutes choses, parce que l'intrigue est l'âme de sa politique. S'il faut en croire les dernières nouvelles qui nous sont arrivées de Montevideo, la puissance du général Rivera est fortement menacée. Son compétiteur, le général Oribe, dont le parti est composé, de tout ce qu'il y a de riche et d'élevé dans le pays, aurait, dit-on, remporté de grands avantages. Montevideo serait en alarme; on y aurait donné la liberté

Il avoit porté les chaînes de l'esclavage ce Toussaint-Louverture, étant hattier sur l'habitation Breda, au géreur de laquelle il envoya des secours pécuniaires. Tant de preuves ont mis en évidence sa bravoure et celle de Rigaud, général mulâtre, son compétiteur, que personne ne la conteste. Sous ce rapport, Toussaint est comparable au Cacique Henri, dont on peut lire la vie dans Charlevoix.

J'm'en doute, avec cette espèce de joujou! dit Garey, jetant un regard de dédain sur le fusil de son compétiteur, et ramenant ses yeux avec orgueil sur le canon, bronzé par le service et les intempéries de son rifle qu'il était en train de recharger, après l'avoir essuyé.

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affublée

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