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Mis à jour: 9 juin 2025
Les officiers eux-mêmes sont vêtus très simplement; ils sont coiffés d'une casquette plate
L'infirmière?... Les infirmières?... Au fait, qu'était-ce? Des religieuses, peut-être. Sous ces vêtements de toile blanche, sous ces coiffes, il ne savait pas. Alors il leva les yeux sur son infirmière, et, tout de suite, sans qu'aucune particularité de costume l'eût en rien renseigné, il eut l'assurance que celle-ci, en tout cas, n'était pas une religieuse. Pourquoi? Il n'aurait guère su le dire. Les choses dont on est le plus certain sont celles qu'on ne saurait dire. On l'avait appelée «madame Vanves»; pour une religieuse on eût dit «sœur saint quelque chose» probablement; mais il n'était pas très ferré sur ces usages; non, ce n'est pas cela, non plus que le cou légèrement dégagé de son infirmière, qui l'informa qu'elle n'appartenait
La singularité pittoresque de ce défilé mérite d'être remarquée. On y voit, en effet, en pleine civilisation moderne, se dérouler sur la place publique, comme jadis, un cortège d'hommes vêtus de longues robes plus ou moins fourrées, coiffés de vastes perruques blanches semblables
Les deux inconnus, coiffés de bérets faits d'une fourrure de loutre marine, et chaussés de bottes de mer en peau de phoque, portaient des vêtements d'un tissu particulier, qui dégageaient la taille et laissaient une grande liberté de mouvements.
En tête, une bande d'Arabes dansent au son du tam-tam, en agitant en l'air de longues perches enroulées de banderoles d'or. Des chameaux s'avancent gravement, coiffés de plumes d'autruche, surmontés d'édifices de brocart d'or enrichis de pierreries; ces édifices contiennent les présents les plus précieux.
Derrière les gardes nationaux marchait une troupe de jeunes gens qui portaient sur leurs épaules des arbres de la liberté, parés de fleurs et de rubans. Après eux, les frères de la Société populaire, coiffés du bonnet phrygien, soulevaient au-dessus de leur tête les trois pierres de la Bastille. Des chars, splendidement ornés et ombragés par des drapeaux, présentaient aux regards de la foule, comme un double objet de vénération, des vieillards et des soldats blessés: les victimes de l'âge et les victimes de la guerre! Sublime allégorie qui enseignait
Le bouddhisme comprend deux sectes distinctes, dont l'une a pour ministres les bonzes, vêtus de gris et coiffés de rouge, et, l'autre, les lamas, vêtus et coiffés de jaune.
C'était un détachement qui venait d'Omsk. Il se composait de cavaliers usbecks, race dominante en Tartarie, que leur type rapproche sensiblement des Mongols. Ces hommes, bien constitués, d'une taille au-dessus de la moyenne, aux traits rudes et sauvages, étaient coiffés du «talpak», sorte de bonnet de peau de mouton noir, et chaussés de bottes jaunes
En première ligne s'avançaient des prêtres, coiffés de mitres et vêtus de longues robes chamarrées. Ils étaient entourés d'hommes, de femmes, d'enfants, qui faisaient entendre une sorte de psalmodie funèbre, interrompue
Mais ces énormes bonnets gonflés d'air, ces espèces de coiffes
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