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Jarry, loc. cit., p. 282. L'Hercule Gaulois triomphant, p. 80. Laurens Drapier, Ann. mss. d'Avignon, fol. 209. Le Religieux, III, p. 70. Du Boullay, V, p. 70. Ehrle, op. cit., p. 63. Ehrle, op. cit., pp. 70 et suiv. Chroniq. de Charles VI, Le Religieux, I, 24, c. 8; III, 100. L'Hercule Gaulois triomphant, p. 81. Arch. municip., B. 32, no 32, Cott. O.O. et B. 33.
[Note 18: L'anecdote sur l'origine du nom d'Abélard est peu connue, et n'a été rapportée que par Bernard Pez, sur la foi d'un manuscrit de l'abbaye de Saint-Emmeram. (Thesaur. anecdot. noviss., t. III, Dissert, isagog., p. xxij.) Il est plus que douteux que le surnom d'Abélard vienne de l'abeille, quoique ses contemporains et saint Bernard lui-même aient fait ce rapprochement. (Saint Bern. Op., ep. CLXXXIX.) D'Argentré voit un nom de famille dans le nom de Pierre Esveillard, qu'ils appellent en France Abéilard. (L'Hist. de Bretaigne, l. I, c. XVI, et l. III, c. CIII, p. 74 et p. 236.) Les textes latins écrits en Bretagne portent Abaelardus. (Chroniq. de Ruys. Recueil des Histor., t. XII, p. 564. Mém. pour servir
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