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Le 26, c'est le même acharnement, le même déluge de feu. Vers 7 heures du matin, on vient nous annoncer que la cavalerie bulgare est entrée en ville du côté du Kaïk et de Stamboul-Yolou (la route de Constantinople). En même temps, nous apercevons de longues colonnes de fumée au nord-est et des lueurs d'incendie qui rougissent l'horizon; ce sont les casernes qui flambent et les ponts qui sautent; les Turcs essaient, dit-on, de détruire leurs ouvrages de défense. Une terrible explosion nous annonce que les poudrières n'existent plus. A 9 heures 1/4, on aperçoit,

Eglise. Grande porte. Casernes. Bassins de radoub en construction. Pavillon de la direction du port, surmonté d'un minaret. Quai d'honneur. Lac de Bizerte.

Deux bataillons furent casernés dans les maisons bourgeoises,

Les étrangers avaient eu la bonne grâce, ainsi que le jour de l'entrée de Monsieur, de consigner leurs troupes aux casernes. La ville était livrée

Que faites vous depuis votre congé? Ma fortune, Sire. Le mot est dur, monsieur d'Artagnan. Votre Majesté le prend en mauvaise part, certainement. Je n'ai pour le roi qu'un profond respect, et, fussé-je impoli, ce qui peut s'excuser par ma longue habitude des camps et des casernes, Sa Majesté est trop au-dessus de moi pour s'offenser d'un mot échappé innocemment

Le 28, le pouvoir, au lieu de rallier ses débris dans le grand quartier militaire formé par le Louvre, les Tuileries, le Palais-Royal, les casernes du quai d'Orsay, Babylone, les Invalides, l'

132. Les meilleures dispositions pour l'établissement des mairies et casernes juxta-posées, au point de jonction de plusieurs rues, de manière

Ils sont encore les plus convenables, malgré l'existence et la possession des forts dominants les rares issues de cette enceinte et toutes les avenues du la ville. Dès que les attroupements menacent d'une émeute, la garde nationale a faire d'abord ses efforts pour éloigner cette triste éventualité; elle tient bon, et se replie, en cas de nécessité, sur les casernes et mairies.

Suivi d'un enfant galla que j'avais amené du Gojam, je parcourus la ville sans trouver me loger: ni hôtel, ni auberge, ni cabaret, ni caravansérail d'aucune sorte; des casernes, des magasins, des maisons bâties en madrépore, les Banians et les Juifs tenaient leurs boutiques; des huttes basses, sales et groupées

Après la parade, on retourna aux casernes pour la dernière fois, puis l'on se dirigea vers la gare du G. P.E. LE RETOUR A MONTR