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Mis à jour: 29 juin 2025
Il a accroché dans sa sellerie, les portraits du pape et de Drumont; dans sa chambre, celui de Déroulède; dans la petite pièce aux graines, ceux de Guérin et du général Mercier... de rudes lapins... des patriotes... des Français, quoi!... Précieusement, il collectionne toutes les chansons antijuives, tous les portraits en couleur des généraux, toutes les caricatures de «bouts coupés». Car Joseph est violemment antisémite... Il fait partie de toutes les associations religieuses, militaristes et patriotiques du département.
Tout cela, raconté d'une manière originale, forme un conte assez plaisant, qui l'est surtout pour les pays où l'on a encore sous les yeux les originaux, toujours ressemblants, de ces caricatures monacales. Mais la fin du huitième chant approche, et que devient l'action du poëme? L'action! le poëte nous en a-t-il promis une? Quand il l'aurait promise, il ne s'en inquiéterait pas davantage. Qu'a-t-il fait de Milon, depuis qu'un brigand calabrois lui a enlevé Berthe et l'a laissé en pleine mer, se livrant
Mais son rêve devait demeurer blotti dans son âme, comme un papillon qui n'a pas de fleurs; et il lui fallait s'occuper de ces personnages grotesques, Marforio et les ministres, sans oublier que son auguste père ne se séparait pas assez dans son esprit des caricatures de son entourage.
Gustave Planche était une vieille connaissance de Musset. En dehors de toutes questions littéraires, leur antipathie réciproque datait des suites d'un bal de 1829 ou 1830 chez Achille Devéria. Ce bal était resté fameux. Musset y portait un ravissant costume de page Charles VI, sous lequel l'avait portraituré le peintre lui-même. Son ami Paul Foucher était en archer de la même époque, accoutrement sous lequel Alfred l'avait croqué dans maintes caricatures . On vantait déj
Lundi 23 avril. Vraiment ça dépasse l'imaginative, l'imbécillité de la critique d'art en ce moment. Cham ce caricaturiste, aux caricatures qui semblent ramassées sur un cahier de collégien, devient un artiste immense, et l'on n'ose plus mettre le nom de Gavarni parmi les noms des dessinateurs, qui peuvent amener du monde
«Avez-vous perdu tout espoir de faire triompher vos combinaisons? demandai-je avec un intérêt ... fort intéressé. Tout espoir! répondit sourdement l'inconnu. Blessé par les refus, les caricatures, ces coups de pied d'âne, m'ont achevé! C'est l'éternel supplice réservé aux novateurs! Voyez ces caricatures de toutes les époques, dont mon portefeuille est rempli!»
On parla ensuite entre Thiers et Gambetta des élections. Et Thiers se récriait sur les noms qu'il lui avait fallu voter... «Vous m'avez fait voter pour Lorgeril, pour celui qui m'a toujours si maltraité, oui, pour celui qui m'a appelé le Mal... Car j'ai été fortement maltraité dans ma vie... Savez-vous que j'ai mille cinq cents caricatures, parues contre moi... Mme Dosne en a fait la collection... Je les regarde quelquefois, ça m'amuse... Il y en a de drôles, une entre autres où je suis en dragon c'est déj
Le clergé avait, dès cette époque, une tendance de victoire et de domination; on le disait du moins, car il ne me convient nullement de me mettre mal par la légèreté de mes assertions avec la cour de Rome et ses milliers de représentans patentés ou mystérieux. Les salons raillaient et les faubourgs criaient d'une manière plus énergique contre ce qu'on appelait la réaction des préjugés superstitieux. Les caricatures les plus bouffonnes circulaient. J'ai vu dans plus d'une maison les gens les mieux pensans se joindre au chorus général, et dessiner eux-mêmes de petits inquisiteurs sur les albums des plus jolies femmes. J'ai même conservé dans mes papiers un croquis de la bataille théologique et comique de Saint-Roch, fait par un noble marquis qui vote aujourd'hui contre les libraires, les dessinateurs et les graveurs. La police était d'une indulgence charmante, elle ne voyait rien et laissait tout faire. «Les gens de police, disait un soir devant moi un ex-conseiller d'
Oui, Parisiens, votre Bixiou, le féroce et charmant Bixiou, ce railleur enragé qui vous a tant réjouis depuis quinze ans avec ses pamphlets et ses caricatures... Ah! le malheureux, quelle détresse! Sans une grimace qu'il fit en entrant, jamais je ne l'aurais reconnu.
Oui, Parisiens, votre Bixiou, le féroce et charmant Bixiou, ce railleur enragé qui vous a tant réjouis depuis quinze ans avec ses pamphlets et ses caricatures... Ah! le malheureux, quelle détresse! Sans une grimace qu'il fit en entrant, jamais je ne l'aurais reconnu.
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