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Mis à jour: 17 juin 2025
Et le capitaine, rompant les rangs et s'écriant: «La mort! la mort!» mit en fuite les cantinières. La séance fut levée: le brouhaha fut grand et les rires prolongés. Nous nous rapprochâmes de Thionville, au bruit du canon de la place. Le siège continuait, ou plutôt il n'y avait pas de siège, car on n'ouvrait point la tranchée et les troupes manquaient pour investir régulièrement la place.
Un peu plus loin, nous entendîmes les cris de plusieurs femmes qui appelaient au secours en français: nous entrâmes dans la maison d'où partaient les cris, croyant que c'étaient des cantinières de l'armée qui étaient aux prises avec des Russes. En entrant, nous vîmes épars, ça et l
En Russie, elle eut le sort de toutes les cantinières de l'armée: elle perdit chevaux, voitures, lingots, fourrures et son protecteur. Tant qu'
Floche, en bonne humeur par «les oeuvres d'art qu'elle avait pénétrées jusqu'en leurs moëlles d'huile» du moins l'affirmait-elle ainsi, voulut finir la matinée chez un brocanteur. C'est, parfois, des imbéciles comme nous qui ont trouvé la «perle», vous savez, un Luini, un Vinci, un Bellini inconnus! Et pourquoi ne mettrais-je pas le doigt dessus?... On a bien vu des cantinières gagner le gros lot!
« Mais savez-vous que nous avons des cantinières de fort bonne compagnie, de véritables femmes
C'est un curieux spectacle que celui de cette vision, rapide comme la vapeur, saisissant, au sortir de la nuit d'un tunnel, des lignes de tentes blanches, des chemins creux où passent des canons, des berges de fleuves aux petits parapets crénelés d'hier, des débits avec leurs tables et leurs verres sous le ciel, et dont les cantinières improvisées, se sont cousu des galons au bas de leurs caracos et de leurs jupes: vision,
L'empereur était logé sur la place d'Eckartsberg; il n'avait que deux chambres; sa suite campait sur le palier et sur les degrés de l'escalier. Rien de plus extraordinaire que l'aspect de cette petite ville ainsi transformée pour quelques heures en quartier-général. Sur une place entourée de camps, de bivouacs et de parcs militaires, au milieu de plus de mille voitures qui se croisaient, se mêlaient, s'accrochaient en tous sens, on voyait défiler lentement des régimens, des convois, des trains d'artillerie, des fourgons, etc. À leur suite, des troupeaux de bœufs venaient, précédés ou coupés par les petites charrettes des cantinières et des vivandières, équipages si légers, si frêles, que le moindre choc les endommageait; et puis des maraudeurs qui rapportaient du fourrage; des paysans conduisant de force les équipages en jurant et maugréant, au milieu des éclats de rire de nos soldats; et des courriers, des ordonnances, des aides-de-camp se lançant au galop
Mardi 9 mai. Des gardes nationaux! des gardes nationaux! des drapeaux rouges tout neufs! des cantinières en grand costume! des ambulancières, la couverture au dos, le sac
Au bord même de l'esplanade, sur un mur bas que verdit la mousse, elles s'asseyent un instant pour se reposer, ces cantinières, après avoir soigneusement relevé leurs belles jupes de velours. Et elles s'éventent, elles s'éventent, avec leur aisance espagnole
Il y en avait en effet plusieurs bataillons réunis autour du village. C'était la première fois que j'en voyais en ligne. Ils paraissaient fort agités, parlaient, gesticulaient, quittaient les rangs. Leurs officiers couraient de tous côtés pour les ramener. Les cantinières ne savaient auquel entendre. Quelques-uns déjeunaient, assis sur des tas de pierres. A la vue des zouaves, les gardes nationaux poussèrent de grandes acclamations. Le petit vin blanc matinal y était pour quelque chose. Ces manifestations enthousiastes redoublèrent de vivacité quand ils nous virent traverser la Marne, après quoi ils se remirent
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