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Mais, sire, dit Scheherazade, il est jour; je suis fâchée que votre majesté n'ait pas le loisir de m'écouter davantage. Comme cette histoire du premier calender n'était pas encore finie et qu'elle paraissait étrange au sultan, il se leva dans la résolution d'en entendre le reste la nuit suivante.

Le second Calender, continua la sultane, poursuivant son histoire: Pour épargner

Le calender continuant de parler

bien! dit Scheherazade, vous saurez donc que le premier calender continua de raconter son histoire

« C'est assez, dit Zobéide, nous sommes contentes; retirez-vous il vous plaira. Le calender s'en excusa et supplia la dame de lui permettre de demeurer, pour avoir la satisfaction d'entendre l'histoire de ses deux confrères, qu'il ne pouvait, disait-il, abandonner honnêtement, et celle des trois autres personnes de la compagnie

Dinarzade, lorsqu'il en fut temps, appela la sultane; et Scheherazade, sans se faire prier, poursuivit de cette sorte l'histoire du troisième Calender: Le jeune homme, continua le troisième Calender, se rassura

Ils m'enseignèrent la route que je devais tenir, et je me séparai d'eux. Je me fis raser en chemin la barbe et les sourcils, et pris l'habit de Calender. Il y a longtemps que je marche. Enfin, je suis arrivé aujourd'hui en cette ville

Scheherazade voulait continuer, mais elle vit paraître le jour. Le sultan, curieux de savoir ce que ferait le calender seul dans le château, après le départ des quarante dames, remit au jour suivant

Scheherazade, en cet endroit, aperçut le jour et cessa de parler. Le sultan trouvait l'histoire du second calender trop belle pour ne pas vouloir en entendre davantage. C'est pourquoi il se leva dans l'intention d'en apprendre la suite le lendemain. Le jour suivant, Dinarzade appela la sultane.

Vous saurez, continua la sultane, que le Calender poursuivit ainsi. Je pris le sabre, et le jetant par terre: Je serais, dis-je au génie, éternellement blâmable devant tous les hommes, si j'avais la lâcheté de massacrer, je ne dis pas une personne que je ne connais point, mais même une dame comme celle que je vois, dans l'état elle est, prête