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Mis à jour: 18 mai 2025


Notre ligne de cavalerie se referme sur eux. Comprenez-vous pourquoi j'ai fait dépasser la ferme au loin sur notre droite sans tirer un coup de feu, et pourquoi j'ai fait bousculer par le capitaine Cahujac les patrouilles, de ce côté-l

Seul, un chien claqua, celui de Pitouët, puis un, celui de Cahujac, ensuite, un

Nulle vocifération ne s'interrompit lorsque, soudain, le couvert manqua et qu'il fallut gravir en ligne de fourrageurs la pente difficile. Le colonel injuria rudement chacun. Corbehem menaçait les hommes, piquait du sabre leurs chevaux pour les faire courir. Cahujac et les Gascons criaient sans qu'on les entendît, tant hurlait la canonnade dont le bruit uniforme était de temps

«Pardon, voulut protester Héricourt, c'est moi qui fis envelopper les vedettesIl se contint. L'Empereur ne le voyait plus, mais recommanda l'étude aux officiers supérieurs. Il laissait entendre que les grades ne seraient décernés qu'aux plus instruits. Ensuite il complimenta le capitaine Cahujac et lui promit la Légion d'honneur pour sa conduite

Les conscrits apprenaient le maniement de la carabine, sous la surveillance de l'adjudant Cahujac, verbeux et colérique. Imberbes, hâlés par le soleil, blonds comme le froment mûr, ils abattaient ensemble les canons de leurs armes, une jambe en avant. Pitouët, lieutenant, examinait les bêtes soumises au pansage. Il avait belle mine dans son habit vert, sous le bonnet de police

En une seconde, le pays et le ciel disparurent derrière les masques ennemis, leurs narines frémissantes, leurs bouches tordues pour hurler en allemand, la forêt des lances droites qui renforcèrent le passage des lances couchées, qui traversèrent les groupes du peloton, les cris, les ruades, les estocades, les commandements clamés par le vieux Pied-de-Jacinthe, droit sur l'étrier. Bernard les répétait de toute sa force, inconscient. «Dragons, taillez les lances! Dragons, sabrez les lances! À toi, Cahujac, derrière! Crève le cheval, Pitouët! Le cheval!... Dragons, sabrez les lances. Dragons, sabrez

«Mon cousin! Major!...» Le sous-lieutenant Gresloup trotta. Il avait la botte déchirée par une balle. Une basque de son habit vert manquait. Cahujac l'envoyait pour savoir que faire. Partout les compagnies d'Impériaux se reformaient, bloquant la compagnie d'élite et l'étendard. Les chevaux n'en pouvaient plus. Les hommes s'énervaient. Fallait-il sonner au ralliement? Edme n'était plus l

Au débouché d'un pauvre village plein de cadavres en capotes grises, de blessés agonisant, bouches bées, autour de l'abreuvoir dont le liquide était devenu rougeâtre, Marius pensa découvrir les colonnes françaises descendues de Pratzen. Le colonel fit déployer, et les uhlans refluèrent devant les démonstrations de la compagnie Cahujac.

Les officiers de dragons formaient une cavalcade un peu lasse; on fumait la pipe silencieusement. Augustin et le major leur annoncèrent la reprise du trésor impérial et la défaite certaine de l'ennemi. Cahujac fut joyeux, Corbehem digne, Gresloup indifférent, Nondain satisfait, Ulbach glorieux, Mercœur plaisant.

Ils rejoignirent le peloton. Cahujac insultait l'infanterie. Corbehem assura que les officiers de M. de Nauendorf qu'ils allaient combattre n'étaient pas moins riches que ceux du prince de Vaudémont. Ils reviendraient aussi avec des florins et des breloques de prix. Il leur fallait seulement le courage de vaincre. Flahaut encore s'indignait en abattant sur les fontes ses gros poings. Ah! c'était une même fureur. Marius proposait de revenir en arrière, de charger les insulteurs qui n'osaient pas quitter l'abri des bois, tandis qu'eux, pour la deuxième fois, allaient sortir

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affublée

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