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Thérèse avait, disons-nous, trop côtoyé cet abîme pour n'en point partager quelquefois le vertige. Son propre talent comme son propre caractère avait failli s'engager

À partir de Gawler, d'où se détache un embranchement sur Great- Bend, le grand fleuve Murray décrit un coude brusque en s'infléchissant vers le sud. Le train, après l'avoir quitté, et avoir côtoyé la limite du district de Light, atteignit le district de Stanley

Après avoir traversé la vallée, et côtoyé le petit lac de Sarnen, aujourd'hui presque desséché, nous quittâmes nos montures près d'Alpenach, pour entrer dans une petite barque

Quand elle s'aperçut que le règlement des affaires du Midi, au lieu de durer deux mois, comme elle l'avait espéré, s'allongeait indéfiniment et qu'elle put craindre l'effet de l'absence sur l'affection de son fils, elle laissa ou fit partir pour la Cour la duchesse d'Uzès, une amie de toujours, spirituelle, intelligente, qui avait côtoyé comme elle l'écueil enchanté de la Réforme et qui, comme elle, avait pris

En son premier voyage, maître Jacques avait bien côtoyé une partie de cette pointe. De plus, il avait visité et dénommé diverses îles. Il soupçonnait l'existence d'un passage «entre la Terre Neuve et la terre de Brionc'est-

Les voyageurs déjeunèrent rapidement, et repartirent pour la station d'Assurghur, après avoir un instant côtoyé la rive du Tapty, petit fleuve qui va se jeter dans le golfe de Cambaye, près de Surate.

»Enfin, nous nous sommes tous réveillés, secoués et regaillardis un peu, au buffet de Culoz l'on change de train et nous avons côtoyé le lac du Bourget par une nuit superbe et claire comme un jour. C'était si beau, monsieur l'abbé, que le docteur n'a plus eu envie de rire, et tout le temps que nous sommes restés sur les bords du lac, nous n'avons presque pas parlé ni les uns ni les autres. Pour moi, j'avoue que j'ai pensé

Georges, après avoir côtoyé une haie de sureaux et d'aubépines le liseron suspendait ses clochettes blanches et roses, s'arrêta soudainement

J'étais le troisième Européen qui atteignait l'emplacement de ces sources visitées par Bruce et découvertes par Pedro Paëz. En les quittant, je voulus, malgré mes guides, suivre les premiers pas du fleuve célèbre qui en découle. Après l'avoir côtoyé et enjambé plusieurs fois, pour constater les tributs que lui apportaient ses premiers et humbles affluents, je compris le désaccord des plus savants géographes, et la facilité avec laquelle s'élève un conflit d'opinions relativement

L'île de Terreneuve située au nord-est du golfe St.-Laurent, et n'étant séparée du Labrador que par le détroit de Belle-Isle, forme une pointe qui projette dans l'océan, et qui a , pour cette raison, être aperçue des premiers navigateurs qui ont côtoyé l'Amérique septentrionale. C'est au sud-est de cette île qu'est situé le banc de Terreneuve sur lequel elle est assise elle-même, et qui est plus célèbre encore par la pêche de la morue qu'on y fait que par ses brumes et ses tempêtes. La figure de Terreneuve est presque triangulaire et présente une superficie de 86,000 milles carrés; sa longueur extrême est de 420 milles, et sa largeur de 300 milles . Le climat y est froid et orageux, le ciel sombre. Le sol mêlé de gravier, de pierre et de sable est aride, quoique arrosé par plusieurs belles rivières. Le pays rempli de montagnes, était alors couvert de bois impénétrables, et de prairies, ou plutôt de landes poussant plus de mousse que d'herbe. Les Français et les Anglais n'y avaient formé des établissemens que pour l'utilité de leurs pêcheries. Les Français y faisaient la pêche dès 1504, et ils avaient formé un établissement vers le cap de Raze pour y faire sécher leur poisson. Les Anglais, conduits par le chevalier Humphrey Gilbert, y plantèrent une colonie en 1583 dans la baie de St.-Jean. Gilbert prit possession de cette baie et de deux cents lieues de pays tout