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Mis à jour: 22 octobre 2025
Saint-Simon, voulant faire connaître les particularités de la vie privée de Louis XIV et de madame de Maintenon, dit dans un endroit de ses Mémoires: «Je me trouve, je l'avoue, entre la crainte de quelques redites et celle de ne pas expliquer assez en détail des curiosités que nous regrettons dans toutes les histoires et dans presque tous les Mémoires des divers temps. On voudrait y voir les princes, avec leurs maîtresses et leurs ministres, dans leur vie journalière. Outre une curiosité si raisonnable, on en connaîtrait bien mieux les mœurs du temps et le génie des monarques, celui de leurs maîtresses et de leurs ministres, de leurs favoris, de ceux qui les ont le plus approchés, et les adresses qui ont été employées pour les gouverner ou pour arriver aux divers buts qu'on s'est proposés. Si ces choses doivent passer pour curieuses, et même pour instructives dans tous les règnes,
J'appris la conformation exacte des deux sexes; de quelle façon s'accomplissait l'union; avec quelles sèves précieuses étaient atteints les buts naturels et humains, la perpétuation du genre humain et la plus forte volupté terrestre; et pourquoi la société voile ces choses et les entoure avec tant de mystères. J'appris encore que, malgré tous les dangers qui les entourent, les deux sexes peuvent quand même atteindre un assouvissement presque complet. Elle me mit en garde contre les suites malheureuses auxquelles une jeune fille s'expose en s'abandonnant toute. Ce que ma main inhabile lui avait procuré et ce que mon cousin avait fait étaient de ces assouvissements presque complets. Bien qu'elle eût connu toutes les joies de l'amour dans les bras d'un jeune homme vigoureux, elle était complètement satisfaite en se bornant aux joies qu'elle pouvait se donner elle-même, car elle avait eu un enfant et elle avait connu tous les malheurs d'une fille-mère. Elle me montra par l'exemple de sa vie qu'avec beaucoup de prudence et de sang-froid on pouvait s'adonner
Cette réponse avait deux buts, sinon deux résultats: le premier, de détourner les soupçons du duc s'il en avait; le second, d'indiquer au comte qu'il avait un auxiliaire sur lequel il pouvait compter. Ah! c'est différent, répondit le duc, forcé d'ajouter foi
Tous les buts sont détruits. Il faut que les hommes s'en assignent un. C'était une erreur de croire qu'ils en possèdent un: ils se les ont tout donnés. Mais les conditions premières pour tous les buts d'autrefois sont aujourd'hui détruites. La science montre le cours
Le Roman merveilleux, c'est le Roman de la Vie, la vie dans toutes ses réalités «terriennes», dans toutes ses manifestations de joie ou de deuil, dans tous ses élans vers l'idéal. Ce livre est un véritable essai philosophique. Les proportions en sont vastes, ambitieuses, certes, et faites, avoue son auteur, pour décourager une simple romancière. Il ne s'agit de rien moins, en effet, que de nous donner une révélation des buts de la vie, de nous expliquer les religions, l'amour, la mort, avec des incursions dans le domaine des arts, des sciences et des lettres. Tout cela est beaucoup pour une seule femme, voire pour une experte moraliste. On sent la pensée qui se raidit
L'homme sentit bientôt comme un multiple aimant Solliciter sa force et la mêler aux choses; Il devinait les buts, il soupçonnait les causes Et les mots s'exaltaient sur ses lèvres d'amant; Son cœur naïf, sans le vouloir, aima la terre Et l'eau obéissante et l'arbre autoritaire Et les feux jaillissants des cailloux fracassés.
Dans les sociétés aristocratiques, la classe qui dirige l'opinion et mène les affaires, étant placée d'une manière permanente et héréditaire au-dessus de la foule, conçoit naturellement une idée superbe d'elle-même et de l'homme. Elle imagine volontiers pour lui des jouissances glorieuses, et fixe des buts magnifiques
Les droits accordés au gouvernement fédéral, dans des buts évidemment nationaux, sont définis et faciles
Les buts excellents auxquels tend l'établissement des Pupilles de la Marine, les résultats pratiques parfaits qu'il n'a cessé de donner, justifient amplement la faveur qui l'accueillit
L'amortissement de un pour cent est donc trop faible; il faut un amortissement plus considérable pour atteindre les deux buts légitimes de l'amortissement, le soutien du crédit public et l'extinction de la dette. Si vous ne vous imposez pas la loi d'atteindre ce double but, vous vous trompez vous-mêmes, vous trompez vos créanciers, vous agissez avec une imprévoyance coupable, vous marchez vers la banqueroute; si vous voulez atteindre le second but, le payement réel ou du moins la réduction notable de la dette, il faut autre chose qu'un amortissement de un pour cent; il faut l'élever au taux de deux pour cent au moins, taux auquel il est aujourd'hui chez nous, addition faite
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