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Mis à jour: 14 juillet 2025
Cependant le général Burgoyne ne pouvant emporter les retranchemens ennemis, resta en position
«Le général Gates, fameux par la prise de Burgoyne et par ses revers
Lorsque Carleton apprit les désastres du malheureux Burgoyne, il dut se réjouir en secret de ce qu'on lui avait préféré ce général pour conduire l'armée du Canada dans le pays insurgé. S'il avait eu raison d'être blessé de l'empressement de cet officier
2. Vernon, Cumberland-le-Boucher , Wolfe, Hawke, le prince Ferdinand, Gramby, Burgoyne, Keppel, Howe ont, bons ou mauvais, obtenu la dîme des conversations; ils ont rempli les dépêches de la poste, comme aujourd'hui Wellesley. Mais courant tous après la gloire (neuf marcassins d'une seule laie ), ils ont défilé
Le général Burgoyne, désirant poursuivre les ennemis tandis qu'ils étaient encore remplis de terreur, résolut de détacher le colonel Baume avec 500 hommes tant réguliers que Canadiens, sauvages et royalistes américains pour s'avancer dans l'intérieur du pays vers la gauche, ravager les campagnes, relever par sa présence, le courage des royalistes et en recruter le corps des provinciaux, ramasser des vivres, des voitures, des chevaux pour la cavalerie, et des bêtes de trait, enfin pour faire prisonniers tous les fonctionnaires nommés par le congrès et frapper les villes de contributions, etc. Le colonel Baume avait pénétré jusqu'
Ainsi finit la campagne de 1776. L'année suivante, Burgoyne envahit les provinces révoltées, où, après plusieurs alternatives de victoires et de défaites, il finit par être entouré par seize mille hommes sur les hauteurs de Saratoga, et obligé d'y mettre bas les armes avec les cinq mille huit cents soldats qu'il commandait, ce qui acheva d'assurer l'indépendance des
L'armée anglaise établie dans ses quartiers d'hiver, le général Burgoyne passa en Angleterre pour régler avec le ministère le plan des opérations de la prochaine campagne. C'était un officier d'une suffisance et d'une ambition que ses talens pour la guerre ne justifiaient point. Le parti politique auquel il appartenait lui avait fait,
Tandis que Washington contenait l'armée anglaise sur le Schuylkill et la Delaware, il s'était passé des événements très-graves sur les lacs du Nord et sur le haut cours de l'Hudson. Les Américains, arrêtés dans l'invasion du Canada, avaient été contraints de se replier sur leur propre territoire, où ils furent attaqués, dans l'été de 1777, par le général Burgoyne, avec une armée d'environ dix mille hommes, venue en grande partie d'Angleterre. Ce capitaine entreprenant descendit le lac Champlain, occupa la forteresse de Ticondéroga, placée en avant du lac Georges, se rendit maître des autres forts qui couvraient ce côté de la frontière septentrionale des
Après son habile manoeuvre de Trenton, Washington était resté dans son camp de Middlebrook. Mais les Anglais préparaient contre lui une campagne décisive. Burgoyne s'avançait du Nord avec 10,000 hommes. Le général américain Saint-Clair venait d'abandonner Ticonderoga pour sauver son corps de troupes. En même temps, 18,000 hommes au service de la Grande-Bretagne faisaient voile de New-York, et les deux Howe se réunissaient pour une opération secrète. Rhode-Island était occupé par un corps ennemi, et le général Clinton, resté
La conduite de Burgoyne, qu'on accusait d'imprévoyance et de lâcheté, devint l'objet d'une enquête devant la chambre des communes en 79; mais ses amis politiques y étaient si puissans, et les témoignages lui furent si favorables que le ministère jugea prudent d'abandonner l'enquête, et le comité qui en était chargé, de s'abstenir de faire rapport. L'on se contenta des raisons que l'accusé voulut bien donner pour se disculper, comme celle-ci: «Les officiers des Canadiens étaient des gentilshommes d'une haute condition dans leur pays; mais dans lesquels on ne pouvait avoir de confiance. A l'esprit entreprenant et audacieux qui avait distingué ce peuple sous la domination française, avait succédé un attachement pour le toit paternel qu'avaient augmenté l'oubli de l'usage des armes et la longue habitude des jouissances domestiques.... Il était difficile de garder les Canadiens sous les drapeaux et de leur faire soutenir au feu les idées de respect que leur conduite dans la dernière guerre avait inspirées
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