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Mis à jour: 7 juin 2025
Cette femme, poursuivit Régulus, me raconta sa triste histoire, celle du moins que vous connaissez, qu'elle avait été abandonnée par mon ami Jacques de Brécourt, qui la laissait dans une effroyable misère avec son enfant. Et elle me donna des détails atroces. Cette femme avait été obligée de prendre un amant, un certain Romain Doria, dont j'ai usurpé le nom pour me présenter chez vous avec le petit, que je voulais sauver. Ce Romain Doria, un misérable, brutalisait la mère, torturait l'enfant, qu'on tenait enfermé des journées entières dans une sorte de cabinet étroit et obscur, où il était privé d'air et de lumière, mourant
Lentement, sans le quitter des yeux, elle prit dans sa poche une enveloppe, d'où elle tira des billets de banque. Une brusque divination l'éclaira, il eut un cri: Oh! mon Dieu! les bijoux, tous les cadeaux! Et lui, si bon, si doux d'habitude, était soulevé d'une douloureuse colère. Il lui avait saisi les deux mains, il la brutalisait presque, lui écrasait les doigts qui tenaient les billets.
On le relevait, en effet, et le cruel jeu continuait. Nicolas, devant ces mauvais traitements, ne pouvait se contenir. Il voulait courir au secours de son compagnon. On l'arrêtait, on le brutalisait. Enfin, ce jeu se fût longtemps prolongé, sans doute, et
Elle se défendait encore contre l'égarement de son geste qu'il la brutalisait sous un impérieux amour en buvant
Ma tante me brutalisait quand j'étais enfant, et j'avais tellement peur des coups que je lui obéissais sans discuter.
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