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Mis à jour: 19 juin 2025
Le soir de ce même jour, les hôtes de Briantes venaient de se souhaiter mutuellement une bonne nuit et on allait se séparer, lorsque Aristandre, qui était le gardien de la porte, envoya dire qu'un gentilhomme et sa suite demandaient asile pour un repos d'une couple d'heures. Il pleuvait, et la nuit était sombre.
Il s'était néanmoins mis en route, avec son escorte, mais sans se presser beaucoup, et on pouvait craindre qu'il n'eût rencontré les reîtres, car on arriva en vue de Briantes sans qu'il eût rejoint.
Enfin, le 30 novembre, nos personnages, pleins d'espoir et de joie, rentrèrent au manoir de Briantes. On avait reçu de bonnes nouvelles de M. de Beuvre. Il avait écrit bien des fois; mais ses courriers avaient été interceptés ou infidèles. Il allait arriver; il arriva, en effet. On lui fit de grandes fêtes; après quoi, on parla de se séparer.
Par exemple, lorsque le jeune Lycidas cède aux folles amours d'Olympe... Pour le coup, d'Alvimar se rendormit résolûment, et M. de Bois-Doré déclamait encore lorsque la carrosse et l'escorte firent retentir le pont-levis de Briantes d'un bruit égal au bruit qu'elles avaient fait sur celui de la Motte.
Il affecta l'indifférence. Eh bien, dit-il, votre hobereau de Briantes a tué dans un combat singulier, ou, pour mieux dire, dans un singulier combat et d'une façon suspecte, un certain... Comment appelez-vous ce mort? Sciarra d'Alvimar.
Mario lui sauta au cou, et, le soir même, Bellinde, payée et congédiée sans explication, quitta l'oasis de Briantes et son beau nom de bergère pour rentrer dans les réalités de la vie sous son nom véritable de Guillette Carcat, en attendant qu'elle en prît un plus sonore et plus mythologique, comme on le verra par la suite.
Quand la place fut déblayée, il y eut encore bien du désordre dans le préau de Briantes.
C'est entendu. Alors, attendons M. d'Ars et ne montrons aucune hâte. Quand le bon M. de Bois-Doré, armé jusqu'aux dents et bien assis en selle sur le beau Rosidor, eut franchi l'enceinte du village de Briantes, il vit Adamas, monté sur une bonne petite haquenée fort paisible, se faufiler
Guillaume objecta que M. Poulain était un dangereux recteur pour la seigneurie de Briantes, et qu'il fallait tout au moins menacer de le compromettre dans l'affaire des reîtres pour le tenir soumis ou éloigné.
Nous ne dirons qu'un mot sur cette époque où Mario eut quinze ans et Lauriane dix-neuf. Leur existence sédentaire et leurs tranquilles relations offraient sans doute un caractère d'heureuse monotonie qui ne nous permet pas d'en retrouver la trace dans nos archives sur Briantes et la Motte-Seuilly. Nous y trouvons seulement le mariage de Guillaume d'Ars avec une riche héritière du Dauphiné.
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