Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 8 juillet 2025


Les Egyptiens tenoient que la vie des premiers hommes avoit été d'une grande simplicité, & que l'usage des vétemens leur étoit inconnu. L'âge d'or si vanté par les Poëtes, & que Strabon témoigne avoir été connu des Indiens, n'est autre chose que cet heureux tems qui a précédé la chûte du premier homme.[p] Maimonides remarque que l'histoire d'Adam, d'Eve, de l'Arbre, & du Serpent, faisoit de son tems un des articles de la Tradition des Indiens Idolâtres, des habitans du Pegu, & des Calaminsames. Ferdinand de Mendès, & quelques autres de ce siécle, raportent que le nom d'Adam n'est pas inconnu aux Brachmanes: & que les Siamois comptent aujourd'hui six mille ans, depuis la création du Monde. La longue vie des Patriarches se trouve dans l'histoire que[q] Bérose a faite de la Chaldée, dans celle d'

XXII. L'opinion de l'immortalité de l'ame se trouve dans Homére. Les Philosophes Grecs, les Druïdes, qui étoient les Sages de l'ancienne Gaule, & les Brachmanes, Docteurs des Indiens, l'ont tous unanimement enseignée. Les Egyptiens, les Thraces, & les anciens peuples de l'Allemagne l'ont tenue pour certaine, selon le témoignage de plusieurs Auteurs. Les Grecs, les Egyptiens, & les Indiens ont connu un Jugement après cette vie, si nous en croyons Strabon, Laërce, Dion, & Plutarque. L'embrasement futur de tout l'Univers se trouvoit dans Hystaspe & dans les Sibylles. On le lit encore aujourd'hui dans les

César nous l'aprend liv. [Note 89: Et les Brachmanes, Strabon lib. XV. «Il faut regarder l'état de l'Homme dans cette vie, disoient ces Philosophes, comme l'état il est dans le moment de sa conception; & la mort, comme un enfantement qui le mène

[Note 22: Quelques Philosophes. Les Brachmanes anciens & modernes, & les Pythagoriciens, qui étoient

Il y avait alors dans l'Arabie une coutume affreuse, venue originairement de Scythie, et qui, s'étant établie dans les Indes par le crédit des brachmanes, menaçait d'envahir tout l'orient. Lorsqu'un homme marié était mort, et que sa femme bien-aimée voulait être sainte, elle se brûlait en public sur le corps de son mari. C'était une fête solennelle qui s'appelait le bûcher du veuvage. La tribu dans laquelle il y avait eu le plus de femmes brûlées était la plus considérée. Un Arabe de la tribu de Sétoc étant mort, sa veuve, nommée Almona, qui était fort dévote, fit savoir le jour et l'heure elle se jetterait dans le feu au son des tambours et des trompettes. Zadig remontra

Mot du Jour

offero

D'autres à la Recherche