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La bataille de Bouvines, si fameuse et si nationale, ne semble pas avoir été une action fort considérable.

Du 2 Août. Bilhaud Prosper, 70 ans, époux Debaisieux, rue des Tanneurs, 9 Reubrez Louis, 70 ans, époux Hennebelle, rue Puébla, 51 Smacq Uranie, 62 ans, veuve Dehedt, rue Mourmant, 17, cour Groles, 4 Dion Marius, 18 ans, rue de l'Alma, 5 Tersin Julie, 58 ans, quai de la Basse-Deûle, 104 Cachoir Marie, 58 ans, épouse Pantenier, rue de Bouvines, 11 Ledoux Rosa, 70 ans, épouse Théry, rue Masséna, 59 Mincke Albert, 2 mois, rue Mourmant, 17, cour Grolez, 6 Van Cuinebrouk Zulma, 44 ans, veuve Hasquin, rue Mazagran, 17 Cardon Pierre, 78 ans, veuf Minnaert, rue Balzac, 26.

Il est probable que chaque armée ne passait pas quinze ou vingt mille hommes. Philippe, ayant envoyé contre Jean la meilleure partie de ses chevaliers, avait composé en partie son armée, qu'il conduisait lui-même, des milices de Picardie. Les Belges laissèrent Philippe dévaster les terres royalement pendant un mois. Il allait s'en retourner sans avoir vu l'ennemi, lorsqu'il le rencontra entre Lille et Tournai, près du pont de Bouvines (27 août 1214). Les détails de la bataille nous ont été transmis par un témoin oculaire, Guillaume le Breton, Chapelain de Philippe-Auguste, qui se tenait derrière lui pendant (p. 101) la bataille. Malheureusement ce récit, évidemment altéré par la flatterie, l'est bien plus encore par la servilité classique avec laquelle l'historien-poëte se croit obligé de calquer sa Philippide sur l'

La bataille de Bouvines, si fameuse et si nationale, ne semble pas avoir été une action fort considérable. Il est probable que chaque armée ne passait guère quinze ou vingt mille hommes. Philippe ayant envoyé contre Jean la meilleure partie de ses chevaliers, avait composé en partie son armée, qu'il conduisait lui-même, des milices de Picardie. Les Belges laissèrent Philippe dévaster leurs terres royalement pendant un mois. Il allait s'en retourner sans avoir vu l'ennemi, lorsqu'il le rencontra entre Lille et Tournay, près du pont de Bouvines (27 août 1214). Les détails de la bataille nous ont été transmis par un témoin oculaire, Guillaume-le-Breton, chapelain de Philippe-Auguste, qui se tenait derrière lui pendant la bataille. Malheureusement ce récit, évidemment altéré par la flatterie, l'est bien plus encore par la servilité classique avec laquelle l'historien-poète se croit obligé de calquer sa Philippide sur l'

«A la bataille de Bouvines, les chevaliers flamands, après avoir renversé quelques hommes d'armes, les laissèrent de côté, ne voulant combattre qu'entre gentilshommes ... Ils s'indignèrent que la première charge dirigée contre eux n'eût pas été faite par des chevaliers, ainsi qu'il était convenable, mais par des gens de Soissons, menés par un certain Garin. Ils montrèrent une répugnance extrême

Au XIIème siècle, il étoit revenu, comme on peut le voir par les historiens de la bataille de Bouvines, par Villehardoin et par tous les annalistes des croisades. Cela est si vrai que Philippe Monskes, au XIIIème siècle, ce traducteur scrupuleux du texte de Turpin, omet cette réflexion du conteur latin.

La bataille célèbre de Bouvines, perdue par Othon contre Philippe Auguste, ébranla le trône de cet empereur; Frédéric s'en prévalut. Il fut reconnu roi des Romains

Le comte Philippe avait épousé Mathilde, fille du vieux comte de Boulogne, qui avait été fait et resté prisonnier de Philippe-Auguste, depuis la bataille de Bouvines; et le gendre, pendant la prison de son beau-père, avait été investi de tous les biens du comte. C'était sans doute ce qui avait tenu jusqu'alors le gendre attaché aux intérêts du roi et de la régente: car, si le vieux comte de Boulogne était sorti de prison en même temps que le comte de Flandre, il aurait pu causer beaucoup d'embarras

Bouchard! mais je m'appelle toujours M. de Montmorency; il ne dépend pas de moi de renier mes aïeux; car enfin je descends du grand connétable qui contribua au gain de la bataille de Bouvines; je descends de cet autre connétable qui trouva la mort sur le champ de bataille de Saint-Denis, je descends... Oui, oui, mon cher Mathieu, et vous êtes le premier de votre maison qui ayez mis bas les armes.

Nos pères croyaient que les patrons des hameaux, Jean le Silentiaire, Dominique l'Encuirassé, Jacques l'Intercis, Paul le Simple, Basle l'Ermite, et tant d'autres, n'étaient point étrangers au triomphe des armes par qui les moissons sont protégées. Le jour même de la bataille de Bouvines, des voleurs s'introduisirent,