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Mis à jour: 25 mai 2025
Ensuite, sa physionomie se bouleversa d'horreur intense... Apercevant la jeune femme étendue près de lui, il se jeta sur elle, l'entoura de ses bras et essaya de la soulever. En même temps, d'une voix stridente, qui semblait blesser ses lèvres au passage: Viens!... Sauvons-nous!... Emporte-moi!...
Un frisson d'angoisse la bouleversa... Alors, d'instinct, elle se leva pour chercher, près de la fenêtre ouverte, l'apaisement de la nuit... Mais ce n'était plus la nuit, ni même l'aube... Le ciel s'éclairait... Une lueur rose, poudrée d'or, chassait victorieusement l'ombre pâlissante. C'était l'aurore, la radieuse aurore, dans le ciel d'été, purifié par l'orage.
Quand il s'éveilla, vers midi, il n'en trouva plus qu'un: l'autre était tombé dans ses draps, apparemment. Il défit et bouleversa son lit, passa une heure
Joyeuse fut frappé au coeur: tant de mansuétude amollit sa colère, tant de beauté bouleversa sa raison. Certes, murmura-t-il après un long silence, vous êtes belle, et Henri a dû vous aimer; mais Dieu ne vous a donné la beauté que pour la répandre comme un parfum sur une existence attachée
«Cette révélation me bouleversa. J
Ainsi, en toute sincérité, le comte parlait de celle dont il avait été la création, et qui, seize années durant, avait galvanisé sa nullité. Bref, poursuivit-il, la perte de ma femme bouleversa mes habitudes au point de me dégoûter des travaux qui avaient été ma passion, et je me mis
À la vue d'André, elle faillit laisser tomber la tasse qu'elle portait et hocha la tête avec reproche: Ah bien! il est grand temps! elle mourrait toute seule, comme un chien! Ce mot injuste le bouleversa. Odile, je n'ai la dépêche que de tout
Que direz-vous d'une scène qui nous bouleversa hier, ma fille et moi, au point que nous n'avons presque pas ouvert la bouche aujourd'hui, ne voulant pas en parler et ne pouvant parler d'autre chose? Voil
Ce fut vers cette époque que Bloch bouleversa ma conception du monde, ouvrit pour moi des possibilités nouvelles de bonheur (qui devaient du reste se changer plus tard en possibilités de souffrance), en m'assurant que contrairement
Cependant, Nana, vers la fin de l'été, bouleversa la maison. Elle avait six ans, elle s'annonçait comme une vaurienne finie. Sa mère la menait chaque matin, pour ne pas la rencontrer toujours sous ses pieds, dans une petite pension de la rue Polonceau, chez mademoiselle Josse. Elle y attachait par derrière les robes de ses camarades; elle emplissait de cendre la tabatière de la maîtresse, trouvait des inventions moins propres encore, qu'on ne pouvait pas raconter. Deux fois, mademoiselle Josse la mit
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