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Mis à jour: 1 juillet 2025


Dans l'après-midi du vingt-et-un, certain courrier apporta la nouvelle que les royalistes avaient repris Montréal aux Américains, et qu'ils avaient massacré tous les Bostonnais, ainsi que les Canadiens partisans du Congrès, qui leur étaient tombés sous la main . Les troupes américaines s'empressèrent aussitôt d'évacuer Trois-Rivières en s'embarquant pour Sorel.

[Note 17: Nos historiens ne s'accordent pas sur le nombre d'hommes que les Bostonnais perdirent en cette occasion. Garneau mentionne treize morts, en comprenant le général Montgomery. Hawkins n'en compte pas plus, tandis que Sanguinet, qui écrivait

Le cinq décembre les Bostonnais s'étant emparé des faubourgs Saint-Jean et Saint-Roch, Carleton fit canonner ces deux endroits, après avoir sommé ceux qui les habitaient de rentrer dans la ville. Quelques personnes seulement cherchèrent un refuge dans la place, les autres gagnèrent la campagne pour éviter les misères d'un siège qui ne pouvait manquer de durer au moins tout l'hiver.

Dans la nuit du huit juin 1777, un an jour pour jour après l'attaque et la défaite des Américains aux Trois-Rivières, le fils aîné de ce même Antoine Gauthier, qui avait si bien joué les Bostonnais, revenait d'une maison voisine il avait passé la veillée. C'était un jeune gars dont le coeur s'éveillait

Dans un instant la barrière se couvre de Bostonnais qui sautent en dedans et courent au poste la garde, commandée par le capitaine McLeod, des Royal Emigrants, est désarmée sans coup férir. McLeod, raconte Sanguinet fut averti par les factionnaires de l'approche des Bostonnais. Il feignit de n'en vouloir rien croire.

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