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Ce taciturne désespoir se changea cependant en angoisse fébrile, quand la nouvelle de la levée du siège de Québec et de la retraite des Bostonnais parvint

Bien que les Bostonnais avançassent le plus doucement possible, on les entendit ou on les aperçut de la haute ville; car

Marc promena ses regards le long des fortifications qui regardaient la campagne. A droite, dans le bastion qui renferme les casernes de l'artilleries, et qui portait dès lors le nom de Barrack Bastion, quelques soldats anglais échangeaient des coups de fusil avec les Bostonnais, retranchés dans les maisons de la rue Saint-Vallier. En remontant vers l'esplanade, son oeil s'arrêta successivement sur les bastions Saint-Jean, des Ursulines et Saint-Louis. L

Le serviteur de ce monsieur Evrard ayant été blessé au combat de la rue Sault-au-Matelot, a été fait prisonnier avec les autres Bostonnais. Jusqu'ici rien qui soit de nature

Il était temps de prendre l'offensive et d'attaquer les maisons prises par l'ennemi, surtout celle qui faisait le coin de la barrière, et par les fenêtres de laquelle les Bostonnais tirait sur les nôtres

La panique s'empare de tous. Le sauve-qui-peut est général, et, culbutant les uns sur les autres, les Bostonnais s'enfuient éperdus vers le Foulon.

Quelques jours auparavant, les Bostonnais avaient lancé contre la ville un brûlot qui après être venu assez près de la place pour terrifier les habitants, était allé s'échouer, poussé par la marée, sur la batture de Beauport il avait fini de brûler avec plus de bruit que d'effet, et de lancer sur la grève déserte ses bombes, ses grenades et ses fusées.

Le premier homme qu'il rencontra aux abords du camp bostonnais fut Marc Evrard qui faisait une ronde d'avant-poste. Rétabli depuis un mois de sa blessure, Evrard avait repris son service d'aide-de-camp auprès d'Arnold. En apercevant le transfuge qui était souvent venu

Il ne lui avait fallu qu'un peu d'attention pour s'assurer qu'il n'y avait ni bonne entente entre les chefs de l'armée assiégeante, ni bravoure véritable et soutenue parmi les soldats. En outre les Bostonnais étaient très-mal pourvu de tout ce qu'il faut pour un siège, et manquaient presque complètement d'artillerie et de munitions.

Le boulet passe en hurlant dans la masse des Bostonnais il fait une trouée sanglante. Les malédictions, les cris de douleur et de rage retentissent lugubrement dans la nuit. Un second coup de canon suit aussitôt le premier. Steady! steady! crie Ogden de toute la force de ses poumons. Mais sa voix se perd au milieu des clameurs de ses soldats terrifiés.