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Mis à jour: 8 juin 2025


Le 5 septembre, l'empereur monta sur les hauteurs de Borodino pour embrasser d'un seul coup d'œil la position respective des deux armées. Le temps était couvert. Bientôt tombe une de ces pluies fines et froides, telles qu'il en tombe assez ordinairement aux approches de l'automne. Cette pluie ressemble de loin

Peu de jours avant la bataille de Borodino, Nicolas reçut les instructions et l'argent nécessaires, envoya un hussard en avant, prit des chevaux de poste et se mit en route.

L'action principale se passa sur une étendue de deux verstes entre Borodino et les ouvrages avancés de Bagration. En dehors de ce rayon, la cavalerie d'Ouvarow fit une démonstration vers le milieu de la journée, et, de l'autre côté d'Outitza, Poniatowsky et Toutchkow en vinrent un moment aux mains; mais ces deux incidents furent relativement sans importance. Ce fut donc sur la plaine, entre Borodino et les «flèches» de Bagration, sur un espace découvert près du bois, qu'eut lieu en réalité la bataille, de la façon la plus simple et la moins compliquée qu'on puisse imaginer. Le signal en fut donné des deux côtés par le feu de plus de cent pièces de canon. Puis, lorsque la fumée s'étendit comme un épais nuage, les deux divisions de Dessaix et de Compans se dirigèrent sur les «flèches», pendant que le détachement du vice-roi se portait sur Borodino. Il y avait une verste de distance entre ces «flèches» et la redoute de Schevardino se tenait Napoléon, et plus de deux verstes,

Le 6 septembre, la veille de la bataille de Borodino, le préfet du palais de l'Empereur des Français, Monsieur de Beausset, et le colonel Fabvier arrivèrent, l'un de Paris, l'autre de Madrid, et trouvèrent Napoléon

C'était Raïevsky; il avait passé toute la journée sur le point le plus important du champ de Borodino. Il venait annoncer que les troupes tenaient toujours ferme, et que les Français n'osaient plus attaquer. «Vous ne pensez donc pas, comme les autres, que nous sommes obligés de nous retirer? lui demanda Koutouzow en français.

Il est temps que se lève de nouveau sur ces âmes anémiées l'ouragan de la guerre. La patrie est envahie. Borodino. Grandeur solennelle de cette journée. Les inimitiés s'effacent. Dologhov embrasse son ennemi Pierre. André, blessé, pleure de tendresse et de pitié sur le malheur de l'homme qu'il haïssait le plus, Anatole Kouraguine, son voisin d'ambulance. L'unité des cœurs s'accomplit par le sacrifice passionné

Mon intention étant de visiter avec détail le champ de bataille de la Moskowa, appelé par les Russes Borodino, et d'apprécier sur les lieux les circonstances qui ont accompagné ce grand événement, j'emportai les trois relations publiées sur cette bataille, celle de Chambrai, celle de Ségur et celle de Boutourlin.

«Au camp impérial, sur les hauteurs de Borodino, le 7 septembre,

CEPENDANT, Barclay avec la droite luttait opiniâtrément contre le prince Eugène. Celui-ci, aussitôt après la prise de Borodino, avait passé la Kologha devant la grande redoute ennemie. L

Quoi qu'on en puisse dire, il n'est pas possible de plier le faits aux exigences de l'histoire, et de soutenir en conséquence que le champ de bataille de Borodino est resté aux Russes, et qu'après l'évacuation de Moscou l'armée française a été détruite par les combats qui lui ont été livrés! Toute la campagne de 1812,

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