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Tout est donc précipice dans cette ville folle, refuge désespéré des temps de guerre, cherché dans le lieu le plus incommode et le plus impossible qui se puisse imaginer. Les confins de la steppe de Rome sont bordés, en plusieurs endroits, de ces petits cratères pointus, qui ont tous leur petit fort démantelé et leur petite ville en pain de sucre, s'écroulant et se relevant sans cesse, grâce

Ces petits chemins encaissés, bordés de haies en pleine liberté de croissance, rappellent assez, au clair de lune, les traînes de mon pays. Au jour, cette pensée ne m'était pas venue,

Le jardin potager était vite parcouru: de grands carrés de pommes de terre, d'autres plus petits de laitue, bordés d'oseille, ç

Peu de spectacles seront aussi intéressans. Les deux côtés du fleuve seront bordés par les deux armées, pendant que les deux chefs conféreront sur les moyens de rétablir l'ordre et de donner le repos

La robe était d'armure blanche, brodée d'argent: des roses semées avec une perle fine au centre de chacune d'elles: les basques, la pointe, les manches, le tour, bordés de plumes d'oiseau-mouche. C'était la mode suprême. Madame la marquise d'Aubignac, fille du financier Soulas, avait fait sa fortune et sa réputation

Des hommes considérables ou notables en publient des critiques: le roi Stanislas (aidé d'un père jésuite), le professeur Gautier, Bordes, académicien de Lyon, Lecat, académicien de Rouen, Formey, académicien de Berlin, sans compter Voltaire, d'Alembert, Frédéric II, qui,

Quelques instants avant l'heure du dîner, Mme Fichini arriva avec une toilette d'une élégance ridicule pour la campagne. Sa robe de soie lilas clair était garnie de trois amples volants bordés de ruches, de dentelles, de velours; son corsage était également bariolé de mille enjolivures qui le rendaient aussi ridicule que sa jupe; l'ampleur de cette jupe était telle, que Sophie avait été reléguée sur le devant de la voiture, au fond de laquelle s'étalait majestueusement Mme Fichini et sa robe. La tête de Sophie paraissait seule au milieu de cet amas de volants qui la couvraient. La calèche était découverte; la société était sur le perron. Mme Fichini descendit, triomphante, grasse, rouge, bourgeonnée. Ses yeux étincelaient d'orgueil satisfait; elle croyait devoir être l'objet de l'admiration générale avec sa robe de mère Gigogne, ses gros bras nus, son petit chapeau

Quelques instants avant l'heure du dîner, Mme Fichini arriva avec une toilette d'une élégance ridicule pour la campagne. Sa robe de soie lilas clair était garnie de trois amples volants bordés de ruches, de dentelles, de velours; son corsage était également bariolé de mille enjolivures qui le rendaient aussi ridicule que sa jupe; l'ampleur de cette jupe était telle, que Sophie avait été reléguée sur le devant de la voiture, au fond de laquelle s'étalait majestueusement Mme Fichini et sa robe. La tête de Sophie paraissait seule au milieu de cet amas de volants qui la couvraient. La calèche était découverte; la société était sur le perron. Mme Fichini descendit triomphante, grasse, rouge, bourgeonnée. Ses yeux étincelaient d'orgueil satisfait; elle croyait devoir être l'objet de l'admiration générale avec sa robe de mère Gigogne, ses gros bras nus, son petit chapeau

[Note 85: Cette parenthèse indique assez que, sous le nom de la Philosophie, le poète met ici en scène la belle comtesse Guiccioli, sa maîtresse, avec laquelle il vécut pendant les dernières années de son séjour en Italie, et tandis qu'il composait et retouchait Don Juan. M. A. P. a supprimé ce dernier vers. Voici comme un témoin oculaire a tracé le portrait de la Guiccioli, en 1821: «La comtesse a vingt-trois ans, quoiqu'elle n'ait pas l'air d'en avoir plus de dix-sept ou dix-huit. Bien différente de la plupart des Italiennes, sa complexion est de la plus délicate beauté; ses yeux longs, grands et languissans, sont bordés par les plus longues paupières du monde, et ses cheveux,

L'aspect change rapidement aux environs de la porte de Clignancourt. Dans la plaine des Malassis s'élève une véritable cité les sentiers marécageux, bordés de taudis infects, alternent avec des rues proprettes, tracées au cordeau.