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Mis à jour: 2 juin 2025


BOGINSKI. Voil

Pauvre garçon! dit-elle. Pourquoi ne m'avez-vous pas dit que vous manquiez de linge? Et vous, Boginski, êtes-vous aussi pauvre que Coz?

BOGINSKI. Eh bien, pas si mauvais! Amende, pas payer, pas d'argent; prison, pas bien grand malheur: gouvernement nourrit et couche. Pauvre Polonais habitués

MADAME BONBECK. Parce que vous étiez parti avec Simplette et Prude sans me le demander, et, que j'attendais pour aller avec Simplette et Boginski chez Mme de Roubier. COZ. Ah! bon! Moi comprendre! Mais moi pas savoir! Eux croire aller seules, sans tante ni Boginski. Moi, autre fois, demander permission

MADAME BONBECK. A la bonne heure! Boginski! c'est un nom chrétien, au moins. Cozi.. ki! je ne vous appellerai pas souvent, vous. Et toi, Simplette, et toi, Innocent, allez-vous rester

BOGINSKI. Volontiers, moi savoir beaucoup; moi raconter comment un jour j'étais beaucoup fatigué, avec camarades aussi; j'avais resté

Mme Bonbeck rentra furieuse. Boginski, tout attristé de la vie

BOGINSKI. Moi vous épargner la peine. Donnez argent, et moi aller payer. Prudence remercia, salua et remit

MADAME BONBECK. Qu'est-ce que c'est que ça, Olenka? BOGINSKI. C'est bataille terrible; longtemps, 1831; moi quinze ans, tué vingt-cinq Russes, puis échappé bien loin et venir en bonne France et avoir trente sous par jour. C'est bon ça. Pas mourir de faim toujours, c'est beaucoup. Pas mourir de froid, beaucoup aussi; et trouver bonne Mme Bonbeck, c'est excellent, ça!

«Ambroisine BONBECKSIMPLICIE, Tiens? ma tante qui envoie Boginski! je vais le dire

Mot du Jour

continua-t-elle

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