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Mis à jour: 29 juin 2025
Chapitre LXXVII Un amoureux et une maîtresse Tandis que les cires brûlaient dans le château de Blois autour du corps inanimé de Gaston d'Orléans, ce dernier représentant du passé; tandis que les bourgeois de la ville faisaient son épitaphe, qui était loin d'être un panégyrique; tandis que Madame douairière, ne se souvenant plus que pendant ses jeunes années elle avait aimé ce cadavre gisant, au point de fuir pour le suivre le palais paternel et faisait,
Eh bien, cette mission, il faut la remplir. Vous allez prendre le chemin de Blois. Vous étudierez le château, les forces de Crillon et leur disposition... l'installation du roi et les précautions qu'on a pu prendre pour le mettre
Quelques jours s'écoulèrent. La fin de l'année se passa dans une tranquillité relative. Cependant, on apprit, le 3 janvier, que Mayenne avait réuni une armée et qu'il se dirigeait sur Paris, acclamé tout le long du chemin par les populations révoltées. Crillon avait environ dix mille hommes de troupe campés sous Blois. Il se tint prêt
Après lui, nous dirons quelques mots de l'opinion de M. Crapelet. En 1834, dans sa préface du Partonopoeus de Blois, il s'exprime ainsi au sujet du Roman de la Rose: «Marot, avec tout son beau langage, n'a pu racheter les défauts du poème qu'il habilla
M. DE MONTMORENCY À Mme Récamier. «Fossé, près Blois, ce 2 octobre 1810.
Vendredi 9 décembre. A 8 heures du matin, la compagnie des aérostiers militaires part pour Blois. Nous avons
Alexandre de Lauzières de Thémines (1742-1829), aumônier du roi, évêque de Blois . Il émigra en 1791, refusa sa démission en 1801, ne voulut jamais reconnaître le concordat, et mourut
Lorsqu'il arriva en vue de Blois, par une brumeuse soirée de novembre, le soleil venait de se coucher, et la nuit venait rapidement, en sorte qu'il entra dans la ville comme on allait fermer les portes. Notre homme avisa une auberge qui se trouvait placée, par son enseigne, sous la protection du grand saint Matthieu.
Le médecin, voyant ce mieux incontestable, regagna Blois après avoir ordonné quelques prescriptions et déclaré que le comte était sauvé. Alors commença, pour Athos, une situation étrange, indéfinissable. Libre de penser, son esprit se porta vers Raoul, vers ce fils bien-aimé.
«On demande décharge de la moitié des tailles, et surséance pour l'autre moitié jusqu'après la récolte, pour les élections de Blois, Beaugency, pour la Sologne, Romorantin et Amboise. Le roi a promis
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