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Mis à jour: 21 juin 2025


Joyeux de cette permission accordée, le roi des Nishâdas, environné de ses parents, Gouha se présenta devant Bharata, et, s'inclinant, lui tint ce langage: «Ce lieu est tout

«Princesse du Vidéha, la flamme que le malheur frotté sur le malheur a fait jaillir en ton âme, ravage ici cruellement ta charmante figure, comme le soleil brûle un nymphée sans eauTandis que sa mère désolée parlait ainsi, le noble Raghouide, frère aîné de Bharata, s'étant approché de Vaçishtha, lui toucha ses pieds.

Au saint, qui était sorti de son ermitage dans le nimbe de son éclat suprême, Bharata, les deux paumes de ses mains réunies et le corps incliné, répondit en ces termes: «Mon séjour ici fut agréable, saint anachorète, ce qu'il fut aussi pour mes conseillers, mon armée et mes chars: tu nous as pleinement rassasiés, bienheureux solitaire, de toutes les choses que l'on peut désirer. Je t'offre mes adieux; donne-moi congé, s'il te plaît, saint anachorète; je vais aller près de mon frère: daigne jeter sur moi un regard favorable. Dis-moi, bienheureux, ô toi, versé dans la science de la justice, quel chemin doit me conduire

Quand Bharata eut cessé de lui parler ainsi, Râma, continuant

À ces mots du roi des Nishâdas, Bharata, ce prince

L'aîné des Raghouides mit un baiser au front de Bharata, le serra dans ses bras, le fit asseoir sur le haut de sa cuisse et lui adressa même ces questions avec intérêt: « ton père est-il, mon ami, que tu es venu dans ces forêts? car tu ne peux y venir sans lui, quand ton père vit encore.

Dès qu'ils virent arrivée la fin de cette nuit, les chefs de l'armée, les brahmes et tous les colléges des conseillers divers s'étant réunis, entrèrent dans le château royal, veuf d'un souverain qui, vivant, ressemblait au grand Indra lui-même. Cette illustre assemblée s'assit autour de Bharata, qu'elle voyait affligé, ses yeux remplis de larmes, plongé dans le chagrin, étendu sur la terre et semblable

«Remets la force dans ton âme, Bharata, et ne sois pas un esprit faible. La mort est forte: on ne peut la vaincre, fils de Kakoutstha; nous tous bientôt nous ne serons plus: cette grande affliction ne te sied donc pas

Entré dans le palais de Kâauçalyâ avec les veuves du roi, Bharata vit alors son père inanimé chez la mère de Râma. À la vue de son père gisant ainsi la vie éteinte et la splendeur effacée, il jeta ce cri: «Hélas! mon roiet tomba sur la face de la terre. On eût dit un homme, de qui l'âme s'est échappée.

À ces mots du magnanime Bharata, auquel Râma adressait tout

Mot du Jour

l'égaierait

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