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Mis à jour: 23 juin 2025
Obscénités sur les chars sacrés de l'Inde. Cette caresse est la principale de celles figurées sur le char sacré de Mazulipatam par un groupe de six personnes: un homme besognant cinq femmes avec sa langue, ses pieds et ses mains. Rien de plus dégoûtant que cette peinture de grandeur plus que naturelle, dont les enfants des deux sexes se montrent tous les détails constamment exposés
D'autres morceaux suivent, d'une exécution aussi rigoureuse: c'est la blanchisserie, avec son odeur fade de linges échauffés, son atmosphère alourdissante et son personnel remuant, babillard et trivial. L'apprentie délurée, vicieuse, la grande Clémence dépoitraillée, Gervaise grasse, active cependant, allant, venant, besognant, j'ordonnant, mettant les fers au feu toujours en riant, satisfaisant les pratiques, gagnant de l'argent, taillant des bavettes oiseuses entre deux pliages, et, de temps en temps, jetant des regards indulgents de travailleuse réussissant, sur son homme encore aimé, dorloté, excusé, car, pour la première fois, il est rentré saoul, et cuve, sans malice, dans l'arrière-boutique. Toutes ces scènes composent un drame simple et vrai. Impossible de mieux rendre les allures, les façons de vivre et d'ouvrer du petit commerce. Le repas joyeux et plantureux, donné dans l'atelier, presque dans la rue, imposant l'envie et l'admiration aux voisins, avec M. Poisson, qui, en sa qualité de sergent de ville, est réputé avoir l'habitude des armes, investi, par conséquent, de la mission de trancher le gigot, dont d'abord il détache, au milieu de rires polissons, «le morceau des dames», l'ivresse tapageuse grandissante, l'étourdissement général, tout ce tohu-bohu d'ouvriers et de petits bourgeois en liesse, l'apothéose de Gervaise toujours heureuse et de Coupeau seulement éméché, pas encore incendié dans les flammes de l'alcool, voil
Je n'aime rien tant que ces discours populaires qui ramassent en quelques phrases le raccourci d'un petit monde: ce patron de voitures, ce Besse, immobile dans son village de La Garde comme une araignée au centre de sa toile, et agrippant, au bon moment, les bêtes importées par ceux que Baptistin, en brave moco, appelait «les étrangers», les trois tragédies résumées dans l'histoire de la vente de ces trois chevaux, ces trois chevaux eux-mêmes, ces restes d'excellents serviteurs, besognant jusqu'
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