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Mis à jour: 6 juin 2025
MARINO FALIERO, Doge de Venise. BERTUCCIO FALIERO, neveu du Doge. LIONI, noble et sénateur. BENINTENDE, président du Conseil des Dix. MICHEL STENO, l'un des trois chefs des Quarante. ISRAEL BERTUCCIO, gouverneur de l'arsenal. PHILIPPE CALENDARO,} DAGOLINO, } conspirateurs. BERTRAM, } SEIGNEUR DE LA NUIT (Signore di Notte), l'un des officiers de la République. PREMIER CITOYEN. SECOND CITOYEN. TROISIÈME CITOYEN. VINCENZO,} PIETRO, } officiers du palais ducal. BATTISTA,} LE SECR
Avançons écoutez l'heure sonne. Allons, c'est le signal de notre mort ou de celle de Venise. Marchons. Dites plutôt que c'est le signal triomphant de sa liberté naissante. De ce côté. Nous touchons au lieu de la réunion. DAGOLINO, DORO, BERTRAM, FEDELE TREVISANO, CALENDARO, ANTONIO delle BENDE, etc., etc. CALENDARO, entrant. Sommes-nous tous réunis?
Bertram, il nous faut du courage. Songes-y bien, Bertram, j'ai les yeux sur toi. Qui pourrait me soupçonner? Ce n'est pas moi; si je le faisais, tu ne serais plus maintenant ici
Mourad-Bey a été au lac Natron, citoyen général; il n'a pas trouvé le rassemblement des bayouchi et des mameloucks: il est retourné: il a couché la nuit du 25 au 26 aux pyramides. Bertram, chef des Arabes, lui a fourni ce dont il avait besoin: il a disparu. Il est,
La barque est prête, monseigneur, tout est disposé. Ayez les yeux sur le prisonnier. Bertram, nous causerons ensemble en nous rendant chez le Magnifico, le sage Gradenigo. LE DOGE et son neveu BERTUCCIO FALIERO. Tous ceux de notre maison sont-ils sous les armes? Ils n'attendent plus que le signal, et sont réunis
Ne m'interrogez pas davantage: il faut que je sorte. Et moi, que je sois massacré! Dites, honnête Bertram, ne l'entendez-vous pas ainsi? Et qui vous parle de meurtre ou de massacre? c'est une imposture, je n'en ai pas dit un mot.
C'était un visage doux et fin, aux traits légèrement effacés, au sourire pâle: une de ces têtes de vierge qui passaient dans les nuits d'Abbotsford quand Walter Scott peignait Alice Lee ou Lucy Bertram. Elle avait une petite fille de sept ans, jolie comme un ange et qu'elle aimait passionnément.
Bertram, tu as reçu les conseils de quelques traîtres; je ne reconnais plus ni ton ancien langage, ni tes propres pensées; des misérables t'ont fait partager leur haine aveugle; mais il ne faut pas que tu te perdes avec eux; tu es né bon citoyen et honnête homme, tu n'es pas fait pour les trames odieuses que le vice et la scélératesse attendent de toi: avoue confesse-moi tout tu me connais que pourriez-vous méditer, toi et les tiens, qui vous obligeât de prévenir un ami, le tien, le fils unique de celui que ton père regardait comme son ami, celui dont l'affection était un héritage que vous deviez transmettre
Je m'assiérai près de vous, tandis que vous raconterez quelque histoire agréable pour tromper le temps. MATURIN, Bertram.
C'est toi, Bertram, qui les as oubliées. Ni maintenant, ni jamais; quoi qu'il puisse arriver, j'aurai voulu vous sauver. Quand disparut notre adolescence nous nous séparâmes, vous pour remplir les magistratures de l'état, auxquelles vous appelait votre rang; moi, l'humble Bertram, pour me livrer aux travaux les plus humbles; vous ne l'avez pas oublié: et si mon sort fut loin d'être toujours fortuné, ce ne fut pas la faute de celui qui tant de fois vint
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