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Mis à jour: 1 juillet 2025
Le général bavarois de Wrede, commandant en chef de cette armée, a été mortellement blessé, et on a remarqué que tous les parens qu'il avait dans l'armée ont péri dans la bataille de Hanau, entre autres son gendre le prince d'Oettingen.
Ce maréchal se loue de la conduite du major Palm, du chef du bataillon léger bavarois, du lieutenant-colonel Habérman, du capitaine Laider, du capitaine Bernard du troisième régiment de chevau-légers de Bavière, de ses aides-de-camp Montmarie, Maingarnaud et Montelegier, et du chef d'escadron Fontange, officier d'état-major.
Lorsqu'on fut certain de la défection de la Bavière, un bataillon bavarois était encore avec l'armée: S. M. a fait écrire au commandant de ce bataillon par le major-général. L'empereur est parti d'Erfurt le 25.
L'empereur vient de faire présent aux Bavarois de vingt mille fusils autrichiens pour l'armée et les gardes nationales. Il vient aussi de faire présent
La place de Thorn a capitulé; la garnison retourne en Bavière; elle était composée de six cents Français et de deux mille sept cents Bavarois: dans ce nombre de trois mille trois cents hommes, douze cents étaient aux hôpitaux. Aucun préparatif n'annonçait encore le commencement du siége de Dantzick: la garnison était en bon état et maîtresse des dehors.
Ces personnalités ne nous intéressent que médiocrement, mais elles illustrent néanmoins d'une façon particulière la complète «unité» du parti. Bebel prétend que l'élément petit-bourgeois, considérable surtout dans l'Allemagne du Sud, affaiblit le parti, et que l'opportunisme et le particularisme bavarois, encouragés systématiquement par Vollmar, sont irréconciliables avec le principe.
Le grand Duguay-Trouin prit dans ses bras les haillons du bonhomme Jacques; l'asile du bonhomme Joseph fut respecté par M. de Contades comme par M. de Clermont, d'un côté; de l'autre, par le prince Ferdinand de Brunswick et les lieutenants du roi Frédéric. Français, Frisons, Flamands, Prussiens, Bavarois, Saxons, s'arrêtèrent devant mon mur, disant: «Ici demeure Dupleix».
La bataille de Testry, cette victoire des grands sur l'autorité royale, ou du moins sur le nom du roi, ne fit qu'achever, proclamer, légitimer la dissolution. Toutes les nations durent y voir un jugement de Dieu contre l'unité de l'Empire. Le Midi, Aquitaine et Bourgogne, cessa d'être France, et nous voyons bientôt ces contrées désignées, sous Charles-Martel, comme pays romains; il pénétra, disent les chroniques, jusqu'en Bourgogne. À l'est et au nord, les ducs allemands, les Frisons, les Saxons, Suèves, Bavarois, n'avaient nulle raison de se soumettre au duc des Ostrasiens, qui peut-être n'eût pas vaincu sans eux. Par sa victoire même Pepin se trouva seul. Il se hâta de se rattacher au parti qu'il avait abattu, au parti d'
En même temps, un fils de Charlemagne, profitant d'une guerre civile des Avares, entrait chez eux par le Midi avec une armée de Bavarois et de Lombards; il passa le Danube, la Theiss, et mit enfin la main sur ce précieux ring où dormaient tant de richesses. Le butin fut tel, dit l'annaliste, qu'auparavant les Francs étaient pauvres en comparaison de ce qu'ils furent dès lors. Il semble que ce peuple thésauriseur ait perdu son âme avec l'or qu'il couvait, comme le dragon des poésies scandinaves. Il tombe dès lors dans une extrême faiblesse. Le chagan se fait chrétien. Ceux d'entre eux qui restent païens mangent dans des plats de bois avec les chiens
Le duc de Bellune marcha sur Villeneuve-le-Comte. Le général de Wrede, avec ses deux divisions bavaroises, y était en position. Le général Gérard les attaqua et les mit en déroute. Les huit ou dix mille hommes qui composaient le corps bavarois étaient perdus, si le général L'héritier, qui commande une division de dragons, avait chargé comme il le devait; mais ce général, qui s'est distingué dans tant d'occasions, a manqué celle qui s'offrait
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